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L'importance du management dans un service connexe à  la douane, cas de l'Ogefrem - direction provinciale ouest / Matadi.

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par Jean Roger BINDA WA SUMBU
Université catholique du cépromad - Licence 2009
  

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CHAPITRE I : CADRE CONCEPTUEL ET THEORIQUE

I.1 Le service

- Le service : (Latin servitium) ; action de servir, ensemble des obligations envers des individus ou des collectivités accomplir une tâche qui découle de ses fonctions ; se mettre au service e l'Etat. Action ou manière de servir un maître, un client, c'est aussi entrain de les exercer. Organisme de certain institutions publiques ou entreprise publique ou privée, tendant à satisfaire certains besoins collectifs.((*)1)

1.2 La douane

- La douane : administration publique chargée de percevoir des droits sur les marchandises exportées ou importées. C'est aussi un lieu où est établi le bureau de la douane.((*)2). En fin la douane peut aussi être définie comme étant l'administration ayant responsabilité d'appliquer sur l'ensemble du territoire nationale, la législation et des réglementations douanières et connexes.

- Le leadership : vient du mot leader signifiant chef ou personne en vue, dans une organisation, un pays, exemple les tête d'un groupe ; il influe sur l'opinion du groupe auquel elle appartient mais aussi un produit qui occupe la première place sur le marché tandis que leadership c'est un commandement dans la fonction du leader.((*)3)

- il est aussi la capacité de conduire les hommes et les femmes et d'orienter leurs énergies vers la réalisation d'un objectif.

- Leadership vient de l'anglais, Leader, chef (désigné par ses pairs) d'un parti politique en grande Bretagne).

Le leadership (de leader et du suffixe : ship) désigner la qualité, la capacité, l'art à conquérir, exercer et conserver cette fonction de leader.

« Leader » a été introduit dans la langue française au XIXèr siècle et sert à désigner un meneur, un chef de file, un dirigent, acteur influent, écouté, conduisant des personnes vers des objectifs, souvent associé à la conduite de changements.

Le leadership tend donc, en français, à définir une capacité à mener des personnes ou des organisations vers m'atteinte d'objectifs. Le leadership est associé à l'aura reconnue à une personne ou à un groupe de personnes dans son aptitude à motiver, impliquer, impulser, guider, inspirer n'a pas de traduction français.

Il désigner les comportements que l'on peut reconnaître à celui qui assure la « fonction du leader » d'une manière générale, il peut être défini comme « la capacité d'une individu à influencer, à motiver, et à rendre les autres capables de contribuer à l'efficacité et au succès des organisations dont ils sont membres « avoir du leadership » c'est exercer une influence dans une démarche de compétition.((*)1)

1.4 Le management

1.4.1 Définitions

Le management est un concept récent dans le vocabulaire français tel point que nombreux sont ceux qui veulent en savoir la signification. Ainsi, plusieurs auteurs se sont donné la peine de le définir, chacun de sa manière.

Selon Peter DRUCKER, concept anglo-américain, le management st tout ce qui est nécessaire pour mener à bien une affaire, petite ou grande, indépendante ou non.

Pour Elton MAYO, Abraham MASLOW et VREAM définissent le management comme « l'Art de combiner les ressources matérielles, humaines et techniques ainsi que les facultés intellectuelles et morales pour atteindre au mieux possibles les objectifs fixés ».

Pour MAC NAMARA, le management est l'organisation du changement orienté vers la création de richesses à travers la satisfaction plus perfectionnée des besoins de l'homme.

1.4.2 Historique

Le management est une science récente, mais elle s'inspire cépendant des cultures et des comportements de certains peuples anciens, par exemple, les Egyptiens, les Chinois, l'apport de la bible, etc...

1.4.3 Evolution du management

Le management remonte au début de l'humanité, sur le plan empirique, il s'est inspiré du réalisation Egyptien, Hébreux, Chinois, Grec et de la bible, sur le plus considération lui vient des auteurs tels que TAYLOR, FAYOL et DRUCKER.

Le management a beaucoup énergie vers les années soixante, il s'était imposé plus important que les fonctions de direction et de gestion afin de marquer l'art et la faculté d'opérer de grand changement au sein d'une entreprise et cela à une tendance globale, moderne et créativité et maintenance d'un environnement interne dans l'entreprise où des individus travaillent ensemble dans des groupes, peuvent accomplir efficacement le travail en vue d'atteindre les objectifs des celles-ci tout en tenant compte de son environnement extérieur.

Pour se constituer en vue véritable science, le management a bénéficié de différents apports de certains peuples et même de la bible.

- L'apport de la bible

La bible est la source de toutes les inspirations et les sciences entre autre le management. S'agissant de cet apport, nous recourons dans le livre de Mathieu chapitre 25 : 14-30 (parabole des talents). Il ressort de ce passage que les deux premiers collaborateurs démontrent qu'ils ont l'esprit managérial. Mais, le dernier sans esprit managérial, ne dit rien de ce qu'il avait reçu de son maître et ne gagna absolument rien.

Selon Mathieu ou lui a arraché tout ce qu'il avait bénéficié de son patron pour le donner à ceux qui avaient bien travaillé. Il y a des similitudes entre le comportement véritables d'un manager à celui de deux serviteurs.((*)1)

En autre, si la tour de Babel s'était élevée jusqu'à faire peur à Dieu lui-même qui est toujours personnellement pour mettre fin à l'ouvrage, c'est toujours grâce à l'esprit managérial dont étaient animé les initiateurs de la dite tour.((*)2)

- L'apport Egyptien

Dans l'Egypte antique (4.000 à 2.000 av J.C) les grandes travaux de construction étaient effectués et exigeaient plus au moins 2 millions de blocs pour 1 million d'hommes pendant 20 ans.

Sans planification, organisation, motivation, coordination, sélection et contrôle, un tel travail, ne peut pas se réaliser.

Ce genre de pratique ne pouvait que provenir d'une application du management puisqu'elles nécessitaient de la planification, de l'organisation, de la coordination, de la communication, de la motivation, de la délégation du pouvoir et du contrôle, fonctions qui relèvent du management.

- L'apport chinois

500 avant J Christ, les chinois parlaient de la personnalité et du rôle du chef, celui-ci ne doit pas être loin de ceux qui exécutent les ordres. Ils ont développé un esprit de commandement et de la personnalité. C'est-à-dire ceux qui exécutent des ordres et ils ont mis en application des principes tels qu'il faut compter sur ces propres efforts, sans planification, organisation, communication et contrôle, les chinois ne pouvaient pas réussir l'autosuffisance alimentaire avec vu le nombre d'habitants.

- L'apport hébreux

(Conseil de Potifar à Moise) au XVèm siècle avant J.C, les hébreux ont introduit l'idée de Scalar principal qui signifie la notion du principe hiérarchique cette conception mettait l'accent sur la notion du chef en d'autres termes, la notion d'échelle du pouvoir qui consiste à déléguer le pouvoir et la responsable au sein de l'entreprise. L'une des pratiques du management.((*)1)

1.4.4 Management art, science et philosophie

- Le management comme art

En tant qu'art, le management se référé aux talents de chacun que le Bon Dieu a placé dans chaque être humain de manière particulière suivant sa sainte grâce ; nous mettons accent sur les dons providentiels, des prédispositions à mener à bien une affaire, à diriger c'est-à-dire le savoir faire et le savoir être dans les affaires.

Nous soulignons que certaines personnes possèdent e doigté et de flair dans les affaires. Des aspects artistiques qui leur confèrent un déterminisme et une émulation exemplaire.

Le management consiste à atteindre les objectifs préalablement définis par la combinaison rationnelle des ressources disponibles (6M) à noter :

- M comme moyen humain ;

- M comme matière ;

- M comme méthode ;

- M comme monnaie ;

- M comme marché.

Ceci est applicable dans toutes les activités de l'être humain.

Nous affirmons avec J.J SERVAN-SHEIBER qui « le management est, en fin de compte, le plus créateur de tous les arts, car c'est l'art d'organiser le talent en vue d'atteindre les objectifs ou les résultats escomptés.

- Le management comme science

En tant que science, le management est constitué d'un ensemble des connaissances méthodiques systèmatiques, accumulés pour expliquer et comprendre des vérités générales, ces connaissances peuvent être coulées, en principes, normes, lois, théorèmes et théories.

Il management comme science consiste à étudier les manières d'accroître l'efficacité et l'efficience des organisation à partir des analyses sur les manières `exécuter les taches, le comportements es travailleurs et ces stratégies à mettre en place pour les amener à réaliser le meilleurs d'eux-mêmes.

- Le management comme philosophie

Le management comme philosophie consiste à créer une atmosphère d'entente et de sécurité pour permettre d'atteindre les objectifs de l'entreprise, c'est-à-dire que la responsabilité d'un manager est d'abord social et communautaire, d'une manière verticale et horizontale.

C'est aussi un étant d'esprit, une culture qui doit être vécus au quotidien.((*)1)

1.4.5 Ecoles du management

Autant qu'il y a des tendances, autant qu'il il y a aussi des écoles en management dans le cadre de ce travail, nous avons retenue trois grandes écoles à savoir :

a) Ecole classique

Cette école regroupe les auteurs les plus célèbre du XXèr siècle dont : TAYLOR, FAYOL et MAX-WEBER et FREDERIC WILSO. Pour ces auteurs l'essentiel de leur recherche s'est attelée à décortiquer les options suivantes :

- L'homme, pour être rentable doit savoir ce qu'il fait ou ce qu'il doit faire ;

- Ensuite, il faudrait l'impulser à travailler et le satisfaire en conséquence. D'où le principe de la division scientifique du travail de la répartition des tâches et du salaire lié à la priece.

Les auteurs de cette école avaient reçu leur démarche car la rentabilité et la productivité étaient évidentes dans les entreprises. Hélas, ils ont oublié que l'être humain (d'homme) n'était pas une machine de production qu'il faut travailler jusqu'à son amortissement, mais étant un animal social, il a des besoins physiologiques à recoudre. D'où pour ces grands penseur, l'homme devra beaucoup travailler pour bien rémunérer.

b) Ecole des relations humaines

Cette école est animée par Elton MAYO et Abraham MASLOW, BLACK et MOUTON, VROOM, HERBERG, elle dégage l'évidence selon laquelle le travailleur (être humain) est un animal social, excellent qui a des besoins divers.

En tant qu'animal social, le lien du travail doit être socialisé de façon meilleure par des mécanismes d'intégration sociale où il se sent aisément intégré, car la satisfaction de ses besoins constitués un « leitmotiv » au processus de production.

C'est ainsi que Elton MAYO conseille les maîtres et les contre maître à créer les compétences en relation humaine et amener les employés à savoir une coopération, les employeurs à assoire leur pouvoir sur les compétences sociales et non sur des connaissances scientifiques qui ne sont pas sujets à discussions.((*)1)

c) Ecole moderne

Par rapport aux deux précédents écoles qui ont mis dans leur démarche l'accent sur l'influence des travailleurs sur l'organisation, les apologistes de cette approche essayent d'appréhender les problèmes complexes de l'organisation qui ne sont pas lié à l'individu qui se trouve dans l'organisation et de persuader que le fonctionnement d'une organisation dépend des paramètres internes et externes de son environnement qui ont un impact positif ou négatif sur le résultat de l'organisation.

C'est pourquoi, Henry MINTZERG, pionnier du management moderne dit ce qui suit : « l'entreprise ou l'organisation évoluer dans un environnement en perpétuelle mutation. Par conséquent, ses succès dépendent de la manière dont ceux qui la gèrent, s'y prennent face aux exigences de l'environnement » 

De ces différentes écoles managériales, il est à noter les approches du management abordées par plusieurs auteurs émanant des écoles précitées pour résoudre certains problèmes qui se posent dans la société, car le management s'occupe de toues les organisations qui ont des objectifs à atteindre.

* (1) Petit Larousse en couleurs illustré en 1984, Page 928

* (2) Dictionnaire Hachette Encyclopédique, 1998, Page 1.732

* (3) M., YALEBI, L'incidence managériale de l'attention de vérification BIVAC sur le recouvrement et la maximisation de recettes douanière, TFC, CEPOROMAD, 2008-2009, Page 11

* (1) http : //fr.wikipedia-org (wiki)leadership

* (1) Jean MASAU MUTOMBO, Questions spéciales de management, cours inédit, L1 UNIC/Matadi, 2008-2009

* (2) MAMBA NSILA PANDA, Management approfondi, Cours inédit L1 UNIC/Matadi, 2008-2009

* (1) J., MUTOMBO MASAU, Op.cit, Page 3

* (1) LADY OSCAR, TFC, UNIC/Matadi, 2008-2009

* (1) MAMBUENE KUMUETO, TFC, UNIC/Matadi, 2008-2009

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"Il faut répondre au mal par la rectitude, au bien par le bien."   Confucius