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Inventaire et hiérarchisation de paramétres structuraux et ultrastructuraux de la variabilité intra spécifique de certaines propriétés mécano physiques des tissus ligneux

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par Christophe Gachet
Université Bordeaux 1 Sciences et Technologies - Doctorat Thèse PhD 2003
  

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3.2.2 Distinction densitométrique entre le bois initial et le bois final

Les profils de densité intra cerne ne laissent généralement pas apparaître de transition abrupte

lors du passage bois initial bois final (Holmberg et al, 1999, Leban, 1999a, 1999b). La pertinence d'une démarche de discrétisation du cerne (bois initial/bois final) en terme de densité demande donc à être évaluée en regard de quelques résultats proposés dans la littérature.

Des modélisations prédictives des variations intra cerne de la masse volumique du bois ont été présentées pour différentes espèces de gymnospermes (Leban, 1999a, 1999b). Si ces descriptions analytiques sont belles et bien spécifiques à chaque genre de résineux, elles présentent néanmoins l'avantage d'être assez proches les unes des autres au niveau de leur formulation.

Ces modèles segmentés, considèrent ainsi que l'évolution de la densité dans le cerne, peut être traduite par un raccordement de 3 fonctions affines « densité, position dans le cerne »

(correspondant aux zones dites de bois initial, zone de transition, bois final).

72

Hiérarchisation des paramètres descriptifs de l'anisotropie élastique du bois normal

Les meilleures estimations (corrélations statistiques) de l'évolution de la densité intra cerne

sont obtenues (Leban 1999a, 1999b) en associant des paramètres caractéristiques de chacune des zones précédentes à l'âge et à la largeur de cerne, comparativement à celles associant une variation de masse volumique moyenne à la largeur des cernes et à leur âge. La discrétisation

du cerne, en terme de densité (bois initial, final, zone de transition) est donc envisageable.

Pour établir « numériquement » une limite entre le bois initial et final, la méthode la plus couramment utilisée, et employée dans la suite de ce chapitre (utilisation de profils microdensitométriques), consiste à définir la frontière entre les deux types de bois, par la moitié de la différence entre le maximum et le minimum de densité de chaque cerne, ce qui permet alors, de s'affranchir des variations de densité inter cerne (Mäkinen et al, 2002, Leban,

1999b).

En conclusion, s'il apparaît difficile d'établir un critère géométrique reproductible permettant

de distinguer, pour toutes les essences résineuses, les deux types de cellules dites initiales et finales, la discrétisation possible du cerne d'accroissement en terme de densité ainsi que l'examen microphotographique confirment l'existence d'une réelle hétérogénéité tissulaire. Les paragraphes précédents ayant montré l'importance de la porosité et de la morphologie cellulaire respectivement sur les rapports d'anisotropie élastique à l'échelle du cerne et à l'échelle tissulaire, il apparaît nécessaire d'évaluer l'influence, sur ces mêmes rapports, de la présence des deux catégories de cellules (bois initial et final) et de caractériser

« mécaniquement » la transition de l'une à l'autre.

3.2.3 La texture, facteur d'anisotropie élastique dans le plan transverse

Comme cela a été indiqué précédemment (chapitre 1), le bois présente une hétérogénéité

selon la direction radiale à l'intérieur d'un même cerne de croissance ; ceci s'explique par le passage progressif d'un tissu ligneux, de porosité élevée, adapté à la conduction de la sève, vers un tissu plus dense à parois cellulaires plus épaisses, mieux adapté à la fonction mécanique de support.

Les modèles mécaniques tissulaires présentés dans le deuxième chapitre (Passage 3) permettent de préciser les effets de l'ovalisation des cellules et de la modification de l'épaisseur de paroi, sur l'anisotropie élastique transverse. L'ovalisation des cellules est schématisée sur la Figure 3.5a, par la diminution du diamètre radial DR par rapport au diamètre tangentiel DT, lorsque l'on progresse vers le bois final. Ceci correspond assez bien, d'après la bibliographie présentée au paragraphe précédent, à ce qui est observable, en première approximation, sur la majorité des plans ligneux de résineux (la Figure 3.5 b en est

un exemple sur Picea abies).

Pour apprécier l'influence de l'ovalisation cellulaire, l'analyse est menée en premier lieu en se plaçant dans les conditions particulières suivantes.

3.2.3.1 Ovalisation radiale

La cellule de départ est choisie carrée et représentative (via la masse volumique fixée à

0,35g/cm3 d'un tissu de bois initial. Le passage du bois initial au bois final, est alors, à cette étape de la discussion, simulé par une unique variation continue du diamètre radial. Cette transition aboutit donc à une morphologie cellulaire rectangulaire dont les caractéristiques sont précisées par la relation 3.11

73

Hiérarchisation des paramètres descriptifs de l'anisotropie élastique du bois normal

(3.11) ETp= ERp , eT = eR= e

DT = D DR= ë D avec ë = 1

Les paramètres géométriques épaisseur de paroi et diamètre tangentiel sont fixés, d'une part, avec le soucis d'être réalistes en regard de la bibliographie (Tableaux 2.3 et 2.6 du chapitre 2)

et d'autre part de manière à obtenir une masse volumique cohérente en regard de divers profils microdensitométriques.

R

T

Figure 3.5 (a) Ovalisation selon la direction radiale, (b) coupe transversale de P. abies colorée à la

safranine et au bleu alcyan, Ruelle (2003), montrant un quasi alignement des parois radiales

(grossissement x 500, barre d'échelle 25 um)

Sous ces restrictions, les relations (2.15 du chapitre 2), (3.1) et (3.2) deviennent respectivement (3.12), (3.13) et (3.14):

e 1

e

(3.12) = m (1-Po) = 2 m D + 1 - 2 D

E 2e

1 E E

(3.13)

L =

1

+ Lp

= a LR Lp

ER

ëD ë ETp

ERp

E 1

e ëD

3

e E E

(3.14)

L

= 1 + 2

1 2

+ ë

Lp

Lp

a LT

E T

64 D e

D E Tp

E Tp

Le rapport d'anisotropie transverse tissulaire (mésoscopique) s'écrit enfin (3.15)

E 1

e ëD

3 E

(3.15)

R

= 1 + 2 Rp

E T

64 D e

E Tp

=

74

Hiérarchisation des paramètres descriptifs de l'anisotropie élastique du bois normal

Les trois coefficients aLR, aLT et aRT ainsi définis, caractérisent l'influence de l'ovalisation

des cellules sur l'anisotropie élastique du tissu ligneux.

Les Figures 3.6 et 3.7 illustrent les modifications des coefficients géométriques d'anisotropie associées à une diminution du diamètre radial DR par rapport au diamètre tangentiel DT. Les applications numériques sont conduites à partir d'un facteur de forme e/D= 0,06, qui correspond pour des cellules carrées à une masse volumique de 0,35 g/cm3 (bois initial).

Figure 3.6 : Variations des coefficients d'anisotropie tissulaires en fonction du paramètre d'ovalisation ë

Figure 3.7 : Evolution du paramètre d'ovalisation ë en fonction de la densité

Dans ces conditions, on constate que, pour des valeurs de DR décroissantes, la masse volumique augmente, d'où une diminution de la porosité et d'autre part, que les facteurs aLT et aLR évoluent en sens opposés. Ceci se traduit (Figure 3.6) par un coefficient géométrique

75

Hiérarchisation des paramètres descriptifs de l'anisotropie élastique du bois normal

d'anisotropie dans le plan transverse aRT qui devient inférieur à 1, pour ë = 0,63, c'est à dire

une masse volumique de 0,43 g/cm3 (Figure 3.7), avec pour conséquence directe une inversion de l'anisotropie dans le plan transverse.

Sous l'effet de ce seul paramètre géométrique ë (on rappelle ici l'absence des rayons ligneux, éléments essentiels de renfort radial), le module d'élasticité tangentiel ET d'un tissu, assimilable par la forme de ses cellules à un tissu de bois final, deviendrait supérieur au module ER, contrairement à des propositions bibliographiques statistiques (modèles prévisionnels l'anisotropie élastique, Guitard, 1987).

En outre, des rapports d'anisotropie élastique L/T (facteur aLT) de l'ordre de 20 ne peuvent être obtenus par seul effet de l'ovalisation résultant d'une transition d'une cellule de bois initial vers une cellule de bois final.

3.2.3.2 Etablissement d'un lien entre variations d'épaisseurs pariétales et diamètre radial

Associant microphotographies et études microdensitométriques sur Picea abies, Holmberg et

al (1999), suggèrent une croissance lente de la densité dans le bois initial liée à une augmentation modérée de l'épaisseur, à diamètre radial constant. Pour ces derniers auteurs, dans la zone de transition, l'épaisseur pariétale augmente rapidement (avec pour conséquence directe une croissance rapide de la densité), tandis que le diamètre radial décroît. Dans le bois final, si la densité croit lentement, le diamètre radial demeure constant alors que l'épaisseur de paroi augmente.

Pour compléter l'étude précédente, en tenant compte des liens probables (non explicités dans

la littérature) entre les variations d'épaisseurs pariétale et celles du diamètre radial, une simulation analytique des modifications des rapports d'anisotropie tissulaire est réalisée à partir de profils microdensitométriques sur du bois adulte de Picea abies fournis par P. Rozenberg (INRA Orléans, Unité d'Amélioration, Génétique et Physiologie Forestière).

Le choix de l'accroissement annuel utilisé (zone B) s'est fait :

d'une part avec la volonté de ne pas avoir un profil de densité trop irrégulier (reprise

de croissance, zone A sur la Figure 3.8)

afin de disposer de la plus large gamme de relevés densitométrique (la zone B est préférée à la zone C).

76

Hiérarchisation des paramètres descriptifs de l'anisotropie élastique du bois normal

Figure 3.8 Exemple de profil microdensitométrique d'étude sur P.abies (données numériques fournies par

Rozenberg). Densité mesurée par absorption d'un rayonnement X

3.2.3.2.1 Lien entre l'épaisseur et le diamètre radial via la masse volumique

La morphologie de la cellule initiale est choisie comme carrée. Une fois cette conformation adoptée, les paramètres géométriques cellulaires, épaisseur pariétale (e) et diamètre tangentiel

(D), sont fixés sous les trois contraintes suivantes (Figure 3.8).

La masse volumique initiale , liée au facteur de forme cellulaire e0/D (3.12) est choisie via un ensemble de profils microdensitométriques pour être représentative du bois initial (méthode de la moyenne décrite par Leban, 1999b). La valeur retenue est

0.25 g/ cm3.

L'épaisseur pariétale initiale (eT = eR = e0) doit répondre à des propositions bibliographiques déjà présentées (valeur comprise au centre d'un intervalle apte à rendre compte d'une variabilité intra arbre, Guitard et al, 2002).

Le diamètre cellulaire tangentiel D est calculé, puis sa valeur déduite est re- confrontée à des références bibliographiques (Boyd, 1974).

Les caractéristiques de chaque type de cellule sont donc :

Pour la cellule dite de bois initial : épaisseurs radiale et tangentielle non distinctes et fixées à

e0 =1 um, diamètre tangentiel fixé à D =23 um, facteur de forme e0/D =0.04, diamètre radial

DR = D.

Pour la cellule dite de bois final : épaisseurs radiale et tangentielle variables e, diamètre tangentiel fixe D, diamètre radial DR variable.

77

Hiérarchisation des paramètres descriptifs de l'anisotropie élastique du bois normal

Figure 3.9 : Modifications de la géométrie tissulaire envisagées lors de la transition d'une cellule de bois initial à une cellule de bois final

Dans cette simulation, le diamètre radial DR est soumis à une décroissance linéaire : les bornes (DR min =15 um et DR max = 23 um) de l'intervalle de variations sont conformes aux valeurs rencontrées dans la littérature (dont quelques exemples ont été donnés dans le Tableau

2.3 du chapitre 2), le pas de variations est déterminé en fonction des bornes précédemment définies et du nombre de relevés microdensitométriques disponibles (245 valeurs relevées tous les 24um). La valeur du pas de variations de DR est donc directement obtenue en divisant

l'écart entre les extrema (valeurs bornes) par le nombre de relevés microdensitométriques. Une telle procédure permet d'éviter une transition abrupte d'un bois initial à un bois final conformément à des constatations anatomiques (passage progressif du bois initial au bois final sur ce résineux, Venet et al, 1986).

Moyennant les hypothèses précédentes, la relation (2.13) du chapitre 2 devient (3.16) :

ñ e

e 2e 2

(3.16)

= +

m

D R

D D.D R

Posant

ñ

A = , cette dernière expression devient :

m

2

2

A.D R .D = e.D + e.D R 2e

En posant de plus B tel que : A.D = B, l'unique solution (biologiquement acceptable) de

l'équation du second degré (3.16) est alors exprimée selon (3.17) :

(3.17)

e1 =

(D + D R ) +

(D + D R )

4

8.B.D R

Le Tableau 3.5 résume ainsi pour quelques valeurs remarquables de densité relevées

expérimentalement (microdensitométrie), les diamètres radial DR et épaisseurs de paroi (e1) calculés, ainsi que les différents coefficients d'anisotropie géométriques aLR, aLT et aRT précédemment définis (relations 3.4, 3.4 et 3.6).

La Figure 3.9 représente, de manière plus exhaustive et ce pour chaque relevé microdensitométrique, les variations des valeurs attribuées aux paramètres diamètre radial et épaisseur de paroi en fonction de la densité relevée.

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Hiérarchisation des paramètres descriptifs de l'anisotropie élastique du bois normal

Tableau 3-5 : Simulation intra cerne de l'évolution du diamètre radial et de l'épaisseur en fonction de la densité sur l'Epicéa ; conséquences sur les rapports d'anisotropie tissulaire

Figure 3.10 Variations simultanées des paramètres diamètre radial et épaisseur de paroi dans le cadre d'une simulation basée sur un relevé microdensitométrique réalisé sur du bois adulte d' Epicéa (Picea abies)

Une première remarque est que le rapport d'anisotropie élastique L/T traduit par la valeur du coefficient aLT n'est toujours pas de l'ordre de la valeur suggérée (L/T = 20) par Guitard

(1987). L'allure générale des évolutions (Tableau 3.5) des coefficients d'anisotropie géométriques aLR, aLT et aRT avec la densité est semblable à celle établie en ne faisant pas

varier l'épaisseur de paroi (paragraphe précèdent). A une augmentation de la densité sont simultanément associées une augmentation de l'anisotropie L/R (facteur aLR) et une diminution de l'anisotropie L/T (aLT).

79

Hiérarchisation des paramètres descriptifs de l'anisotropie élastique du bois normal

Une différence notable par rapport à la précédente simulation (Figure 3.7) réside en

l'impossibilité d'une inversion de l'anisotropie transverse (facteur aRT du Tableau 3.5) pour

la gamme de densité explorée (de 0,25 à 0,86). Cette dernière remarque montre le réalisme du modèle ici décrit et alimenté par un jeu, en partie expérimental, de données structurelles.

En second lieu, et ce conformément à des propositions bibliographiques tirées d'examens microphotographiques (Panshin et al, 1980), la Figure 3.9, comme le Tableau 3.5 font apparaître des variations relatives intra cerne d'épaisseurs pariétales (e) plus importantes que celles du diamètre radial DR. Dans la simulation analytique, si DR décroît de 23 um à 14 um, l'épaisseur pariétale varie du simple au triple (de 1 à 3 um). Les sens de variations avec la densité intra cerne des paramètres géométriques cellulaires diamètres et épaisseurs, observables sur la Figure (3.9), sont comparables aux résultats obtenus à partir des données numériques fournis par J.M. Leban (INRA, Nancy, LERFORB, ERQB) sur du bois adulte de

5 essences résineuses (Figures 3.11 3.12, 3.13, mesures des paramètres DR, DT, par planimétrie et relevés microdensitométriques par absorption des rayons X). Si, conformément

à la littérature évoquée précédemment, la diminution du diamètre radial DR accompagnant la

transition d'une cellule de bois initial à une cellule de bois final est relativement bien admise, l'épaisseur de paroi ne peut être considérée comme un paramètre constant.

Ces deux variations simultanées de diamètre radial et d'épaisseur doivent donc être hiérarchisées afin d'évaluer les modifications des coefficients d'anisotropie géométriques

(rapportées dans le Tableau 3.5) accompagnant le passage d'un bois initial à un bois final. Une simulation est tentée (Tableau 3.6) avec, dans le cas 1, pour une cellule de bois initial, une variation du diamètre DR à épaisseur de paroi e fixée, tandis que dans le cas 2, seule l'épaisseur e varie de 1 um à 3 um. Dans les deux cas les valeurs bornes de chaque paramètre sont issues du Tableau 3.5.

La première partie du Tableau 3.6 (cas 1) montre les évolutions des différents rapports avec une diminution de DR (valeurs bornes tirées de la simulation) à épaisseur de paroi constante. Ces résultats sont conformes aux évolutions des différents facteurs d'anisotropie aLR, aLT et aRT, rapportées sur la Figure 3.7.

La seconde partie (cas 2, Tableau 3.6) montre les variations des mêmes rapports d'anisotropie aLR, aLT et aRT avec une augmentation de l'épaisseur à diamètre radial DR constant.

On remarque que les rapports d'anisotropies aLT et aRT évoluent dans le même sens pour les deux modifications géométriques cellulaires envisagées, ceci conformément aux résultats plus généraux de la simulation intra cerne (diminution des rapports aLT et aRT).

Pour le rapport aLR, les évolutions sont différentes suivant la modification géométrique envisagée (à épaisseur constante, une diminution du paramètre DR conduit à une augmentation de aLR tandis qu'une augmentation d'épaisseur de paroi, à diamètre constant, entraîne une diminution de ce même facteur). Une comparaison avec l'évolution intra cerne

du rapport d'anisotropie aLR (augmentation lors du passage d'un bois initial à un bois final) rapporté dans le Tableau 3.5 confirme que la diminution de diamètre radial constitue, dans notre modélisation, la première modification géométrique explicative de l'augmentation de

l'anisotropie L/R.

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Hiérarchisation des paramètres descriptifs de l'anisotropie élastique du bois normal

 

Densité

D (um)

DR (um)

e (um)

aLR

aLT

aRT

Cas 1

 
 
 
 
 
 
 
 

0,25

22,92

22,92

1

1,91

13,85

7,24

 

0,28

22,92

18

1

2,16

6,44

3,79

 

0,35

22,92

15

1

2,39

3,92

2,5

 
 
 
 
 
 
 
 

Cas 2

0,25

22,92

22,92

1

1.91

13.85

7.24

 

0,48

22,92

22,92

2

1.83

3.93

2.15

 

0,69

22,92

22,92

3

1.74

2.38

1.37

Tableau 3-6 : Simulation de l'impact des modifications univoques de l'épaisseur pariétale et du diamètre

radial sur l'anisotropie élastique tissulaire

Figure 3.11 Evolutions intra cerne du diamètre radial pour différentes essences résineuses

Figure 3.12 Evolutions intra cerne du diamètre tangentiel pour différentes essences résineuses

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Hiérarchisation des paramètres descriptifs de l'anisotropie élastique du bois normal

Figure 3.13 Evolutions intra cerne de l'épaisseur pariétale pour différentes essences résineuses

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"En amour, en art, en politique, il faut nous arranger pour que notre légèreté pèse lourd dans la balance."   Sacha Guitry