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« Qualité motivationnelle » des activités d'apprentissage proposées dans le module de français langue étrangère: Cas des étudiants du département de langue arabe de l'université d'Annaba

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par Naouel Boubir Boustouane
Université Badji Mokhtar- Annaba- - Magister 2007
  

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R- Oui, cette année je ne les connais pas encore très bien mais l'année dernière, d'ailleurs, j'ai été félicitée par le chef du département pour le travail qu'ont fait mes élèves de langue arabe. Ils parlaient très bien français et ils étaient capables de venir au tableau, de faire un exposé sans lire la fiche. A la fin de l'année, j'ai eu une grande surprise puisque mes étudiants comme on vient de dire, ils ont organisé un sketch. Ils sont venus, là, entre étudiants, l'un jouait le rôle du professeur et les autres étaient des élèves et j'étais étonnée par le résultat que j'ai eu.

Q-Que faites-vous pour responsabiliser vos étudiants ?

R- Je leur fais toujours confiance. J'ai affaire à des étudiants. Donc, je me dis, il faut que je me mette d'abord à leur niveau. Comme j'assume un cours je l'assume à leur niveau et tout en faisant mon cours, je leur donne des données nouvelles de nouvelles connaissances et la séance suivante je leur dis : « Tenez j'ai oublié ce que je vous ai dits la dernière fois qui peut me rappeler ce que j'ai dit ».

Q- Donc vous prenez aussi en considération les connaissances antérieures ?

R- Ah !Oui, je ne fais pas un nouveau cours s'il n'y a pas un rappel de ce qui a été fait et c'est ce que j'utilise avec tous mes étudiants et mes élèves. Par exemple, je fais un cours aujourd'hui, comme aujourd'hui il y a un exposé, s'il y a un temps je ferai autre chose. Et la prochaine fois, je leur dirai :  « Tiens de quoi on a parlé » c'est-à-dire je les laisse toujours, en sachant qu'à n'importe quelle heure, à n'importe quel moment je peux poser la question sur ce qui a été fait antérieurement et bien sûr j'en penche sur quelque chose, quelque chose de nouveau.

Q- Est- ce que vous donnez un temps suffisant à l'étudiant pour accomplir une tâche ?

R-Je donne effectivement, mes étudiants ne peuvent pas faire quelque chose, c'est moi qui dois juger avec le contenu de ce que je demande. Si je pense, si je me mets dans ma tête qu'une demi-heure suffirait c'est une demi-heure, si je pense moi-même, je calcule et je vois c'est là que je calcule le degré de compréhension chez mes élèves.

Q- Généralement, proposez-vous aux étudiants des activités collectives ou individuelles ?

R- Il y en a des collectives et il y en a d'autres individuelles. Comme c'est la première fois qu'on se lance à l'eau, ils font des exposés à deux. Jusqu'à présent c'est à deux mais peut être, il y a des groupes qui se feront à trois. Comme on a dit, vers le mois de mai par exemple, je leur demanderai par exemple de le faire seul. Il faut qu'il soit capable et ce que je souligne ce sont des futurs enseignants. Je leur apprends à savoir parler en face d'un certain nombre de personnes : voilà mon but de ces exposés d'abord leur apprendre à parler ça va leur permettre de faire des recherches, 2e leur apprendre à parler, 3e les futurs professeurs, il faut qu'ils enlèvent le trac d'être en face d'un certain nombre d'étudiants. Il faut qu'ils aient le courage, qu'ils aient la posture d'un professeur en face d'une classe.

Enseignant 02 .

Q- Considérez-vous que vos étudiants sont motivés ?

R- Il y a quelques-uns uns qui sont motivés mais les autres non.

Q- Que faites-vous pour les motiver ?

R- Je dois ramener des textes différents, je dois les conseiller.

Q- Est-ce que vous prenez en considération le choix des étudiants en ce qui concerne le thème ?

R- Le choix du thème, Bien sûr, ça dépend.

Q- Sentez-vous que vos étudiants sont capables d'accomplir des tâches ?

R- Oui, je pense.

Q- Puisque vous les jugez comme démotivés.

R- Non, mais dans ma classe, il y a des étudiants qui travaillent, qui peuvent travailler mais les autres non.

Q- Que faites-vous pour rendre vos activités moins ennuyeuses ?

R- Donc, il faut que je donne un travail motivant par exemple des différents exercices et comme ça je laisse la chance aux étudiants de choisir. Les étudiants ont le choix de choisir le travail qui leur convient.

Q- Selon-vous quelles sont les conditions que le professeur doit respecter pour aider ses étudiants à être motivés ?

R- Je les incite à la beauté esthétique de la langue française.

Enseignant 03 .

Q- Considérez-vous vos étudiants comme motivés ?

R- C'est vrai qu'il y a des éléments, il y a des étudiants qui sont très motivés. Pourquoi motivés ? Parce qu'à mon sens, déjà, ils ont déjà un pré-requis et qu'ils veulent encore approfondir. D'autres ne le sont pas pour des raisons que je considère d'ordre psychologique parce qu'ils ne sont pas adaptés à la situation universitaire. D'autres pour des raisons d'incapacité, ils n'ont pas la langue, donc pratiquement, ils craignent cet handicap depuis peut être le primaire et le moyen d'où ces désintérêts pour faire la langue étrangère notamment le français parce qu'ils n'ont pas la capacité de suivre. Donc, ils ne sont pas armés pour comprendre d'où ces désintérêts vis-à-vis de la langue étrangère.

Q- Donc que faites-vous pour les motiver ?

R- Normalement, on simplifie le programme : Le contenu du programme est très simple. Pour amener l'étudiant à s'intéresser à tant soit peu à la langue, parfois on utilise certains subterfuges de la langue pour l'amener à s'intéresser et on simplifie au maximum même c'est cela n'est ni en adéquation avec le programme ni avec les attentes du programme pédagogique universitaire et notamment pour la langue et la littérature arabe.

Q- Donnez-vous à l'étudiant l'occasion de choisir le thème des activités ?

R- Ce n'est pas à lui de choisir le thème, ils sont déjà à priori proposés par l'université qui donne très souvent les grandes lignes de ce programme. Les thèmes ! je sais pas maintenant ce qu'on entend par le concept de thème, mais en général, pour répondre honnêtement, non. Ce n'est pas à l'étudiant de le choisir même si ça peut être, je suis pas contre le fait que cela soit négocié avec les étudiants. En tout cas, pour ce qui me concerne, je n'ai pas eu cette idée mais elle serait la bienvenue si c'était le cas.

Q- Que faites-vous pour responsabiliser vos étudiants ?

R- Pour les rendre responsables, d'abord on les incite à la lecture, on leur propose des exercices, on leur demande de faire des recherches. A travers ces exercices, il y a toujours une activité qui suscite quelque part l'intérêt de l'étudiant et l'amène quelque part à s'intéresser et ce qui en découle c'est automatiquement. C'est une certaine motivation qu'il acquiert au fur et à mesure. N'oublions pas qu'au départ, j'avais parlé des étudiants qui ont des carences terribles et j'ai parlé aussi du subterfuge. Donc, on essaye d'utiliser des moyens linguistiques pour les attirer et susciter leur intérêt et en même temps avec des thèmes parfois motivants. Quand c'est l'état motivant pour les intéresser, d'ailleurs, tout à l'heure par exemple, on avait abordé un thème dans le cadre de l'élaboration, de la conception d'un sujet. On a soulevé des problèmes de sport de manière générale chez l'adolescent même s'ils ne sont plus des adolescents puisqu'ils s'en sortent de l'adolescence. Et, parfois, on a évoqué certains points en rapport des couples d'idées, entre par exemple, comme vous voyez au tableau : sport- éducation, sport- santé, des relations qui en dépouillent et entre autre ce qu'on avait évoqué de l'idée du sport et de politique. Ça les a beaucoup intéressés. On a évoqué le problème du sport chez la femme, on a remarqué que la femme ne pratique pas beaucoup de sport et ce thème les a beaucoup intéressés et j'aurai promis que ça ferait plus tard l'objet d'un débat qui serait je le souhaite assez enrichissant pour tous les étudiants.

Q- Généralement, proposez-vous des activités collectives ou individuelles ?

R- Non, le plus souvent c'est un travail individuel. Quand certains étudiants sèchent, c'est un travail collectif c'est-à-dire des exercices très souvent binômes qui les amènent à s'entraider. Dans ce sens, dans cette optique, le travail circule en commun, si non, c'est un travail individuel quand l'élément a les capacités de le faire. Parfois, ils ont recours à certains documents de références que je donne de temps en temps et préparent certaines activités eux-mêmes. D'ailleurs, j'ai certains étudiants dont je suis très satisfait parce qu'ils sont très intéressés.

Enseignant 04.

Q- Considérez-vous vos étudiants comme motivés ?

R- Tout dépend de la matière et de ce qu'on enseigne c'est-à-dire si le sujet proposé est adéquat c'est-à-dire il est intéressant. Les élèves sont motivés surtout après un cursus scolaire, s'ils sont spécialisés en langue et littérature arabe. Si on étudie leur domaine, ils sont automatiquement motivés.

Q- Que faites-vous pour rendre l'activité proposée moins ennuyeuse ?

R- Il faut la faciliter, quand il y a une facilité d'explication, tous ce qui est facile est compréhensif et s'il est compréhensif, il peut être suivi et s'il peut être suivi, il peut être compris et s'il est compris les étudiantes et les étudiants sont motivés.

Q- Est-ce qu'ils sont capables d'accomplir des tâches ?

R- ça dépendra de ce qu'on leur demande de faire. Si on leur demande quelque chose selon leurs capacités, ils peuvent la faire.

Q- Est-ce que vous proposez aux étudiants des activités collectives ou individuelles ?

R- On ne peut pas faire des activités individuelles parce que ça demande beaucoup de temps et c'est préférable de faire des activités individuelles mais, si la restriction vous donne d'autres activités bien sûr collectives ça veut dire qu'on leur propose une activité au tableau. Bien sûr, tout le monde peut participer individuellement et mais la réponse est faite collectivement.

Q- Est-ce que vous donnez aux étudiants un temps suffisant pour accomplir des tâches ?

R- Ça dépendra du contexte, tout dépend du contexte, si la leçon est facile je ne donne pas un temps à la réflexion, c'est une perte de temps. Et, si la réflexion nécessite un temps de réflexion, on leur donne du temps.

Q- Que faites-vous pour responsabiliser vos étudiants pour les rendre motivés ?

R- On ne peut pas motiver un étudiant qui a déjà son baccalauréat. Il est majeur et surtout en troisième année, il n'y a aucun et aucune étudiante de moins de 19 ans. Chacun est responsable de ses actes. On ne peut pas motiver si quelqu'un ne veut pas se motiver par lui-même. C'est impossible, on ne peut pas motiver. Pour un étudiant, il sait ce qu'il a à faire et ce qu'il doit apprendre.

Enseignant 05.

Q- Considérez-vous que vos étudiants sont motivés ?

R- Dans le cadre de mon module, en ce qui concerne mes étudiants, au niveau de ma salle d'étude, sincèrement mes étudiants ne sont pas trop motivés pour l'apprentissage d'une langue étrangère. Vue qu'il y a beaucoup de problèmes pédagogiques qui ne permettent pas un enseignement adéquat et un apprentissage de l'enseigné vers l'enseignant ou de l'enseignant vers l'enseigné. Il n'y a pas de réception et il y a aucun schéma de communication entre l'enseignant et les étudiants. Ils regardent cette langue étrangère, qui est le français, comme une langue éloignée plutôt sur le plan géographique et qui ne peuvent accepter son apprentissage que par le biais d'autres moyens pédagogiques plutôt la télévision ou la musique.

Q- Pensez-vous que vos étudiants sont capables d'accomplir des tâches ?

R- Je pense que les tâches proposées dans mon module et par mes soins sont acceptables mais à condition qu'il y ait réunion de quelques outils pédagogiques qui peuvent les motiver, par exemple si vous dites à un étudiant que si le lundi prochain, vous allez rapporter votre travail et vous aurez une note supplémentaire à votre examen, le travail sera accompli à la veille et s'il n'y a pas soit disant ces petits cadeaux, il n'y aura pas de travail accompli.

Q- Que faites-vous pour responsabiliser vos étudiants ?

R- J'essaye de leur faire comprendre par des théories de notre vécu et de notre société que cette 2e langue étrangère est une langue de lumière. Une langue que dans les années à venir, ils ne peuvent pas avancer dans leur travail scientifique ou de recherche sans cette langue.

Q- Donc, que faites-vous pour motiver vos étudiants ?

R- En ce qui concerne mes étudiants, j'ai trouvé une solution qui me paraît fiable : c'est que les étudiants algériens surtout qu'ils sont spécialisés en la langue arabe comme licence. Pour les attirer vers la langue française, ni le texte, ni les exercices, ni la leçon de français ne peuvent les motiver mais une seule chose qui peut les motiver : ce sont des exemples, tirés du vécu et de la société et surtout en leur donnant des titres de films, c'est-à-dire des films américains où il y a une traduction en français. Ils s'intéressent beaucoup à la cinématographie, beaucoup à la musique c'est-à-dire dont le langage est en français. Ils s'intéressent beaucoup au sport et la plupart des détenteurs du sport sont européens c'est-à-dire leur motivation ne commence pas dans salle d'étude mais elle commence toujours à l'extérieur. Il y a beaucoup de moyens pédagogiques à l'extérieur qui peuvent motiver les étudiants à faire un apprentissage de la langue française.

Q- Est-ce que vous négociez le thème des tâches proposées aux étudiants ?

R- Oui, spécialement avec les étudiants de langue arabe, je négocie quelques thèmes parce qu'il y a au niveau du groupe, il y a des niveaux et il y a ceux qui ne maîtrisent nullement le français. Il y a ceux qui réceptionnent la langue en tant qu'un outil linguistique et ils ne peuvent pas répondre. Il y a ceux qui maîtrisent la langue et ils ne peuvent pas s'exprimer à cause d'autres problèmes plus pédagogiques.

Q- Face à une activité à accomplir, est-ce que vous remarquez que certains étudiants abandonnent l'activité ?

R- Absolument par exemple, on commence à faire quelques exercices de grammaire, je constate que la moitié du groupe ne s'intéresse nullement à comprendre l'exercice, soit à réfléchir ou au moins avoir l'air pensif pour régler la solution.

Q- Peut être vous donnez des consignes qui ne sont pas claires ?

R- Peut être oui, peut être que la réception est mauvaise, peut être que l'explication de l'exercice. Mais, j'ai constaté qu'il y a un refus vraiment de la part des étudiants de faire l'apprentissage de cette langue.

Q- Donnez-vous à l'étudiant un temps suffisant pour accomplir une tâche ?

R- Absolument oui, surtout l'activité, au sein du groupe, dure plus d'une heure de temps.

Q- Donnez-vous à vos étudiants des activités individuelles ou des activités collectives ?

R- Je préfère leur donner des activités collectives c'est-à-dire tout le groupe qui participe à une seule activité et essaye de réfléchir à une solution.

Q- Selon vous, pourquoi les étudiants refusent-ils cette langue ?

R- Je pense que le problème n'est pas un secret de polichinelle : si les étudiants de langue arabe avaient l'institution au sein même c'est-à-dire je parle de la bâtisse au sein même d'une grande université où ils auraient à communiquer, faire l'échange avec des étudiants d'autres formations comme la langue anglaise, la langue française ou le droit ou l'économie. Je pense que les étudiants de langue arabe seront dans l'obligation d'apprendre cette deuxième langue étrangère.

Enseignant 06 .

Q- Considérez-vous vos étudiants comme motivés ?

R- En ce qui concerne mes étudiants, je trouve qu'il y a certains étudiants qui sont vraiment motivés. Ils sont issus d'une formation parfois francophone. D'autres, ils leur manquent un petit peu le niveau c'est-à-dire l'handicap. Ils sont motivés mais le seul handicap devant eux c'est-à-dire ils n'ont pas la base, la base requise c'est la raison pour laquelle, ils ne peuvent pas suivre. Quand on n'arrive pas à suivre donc on abandonne.

Q- Que faites-vous pour motiver les éléments faibles ?

R- D'abord, c'est par les thèmes traités, j'intéresse mes étudiants à partir des thèmes traités et en même temps, j'essaye de me rapprocher davantage des étudiants. Je leur facilite l'accès c'est-à-dire à cet apprentissage, apprentissage outil. Moi, j'avais dit ça parce que c'est un moyen de communication voilà et en même temps c'est une ouverture sur l'autre monde c'est-à-dire sur le français, sur la civilisation française et ainsi de suite. On les motive comme ça d'autant plus, c'est-à-dire qu'actuellement le monde est devenu un village, voilà, c'est la raison pour laquelle je les pousse à suivre la formation dans ce sens c'est-à-dire avoir plus d'un outil c'est-à-dire de communication. Au lieu de se consacrer uniquement à l'arabe, ils étudient l'arabe en fonction c'est-à-dire du système français.

Q- Vous avez parlé du thème. Est-ce que vous donnez à l'étudiant l'occasion de choisir les thèmes étudiés ?

R- Vue à certaines contraintes, parfois c'est nous qui choisissons le thème c'est-à-dire c'est le prof qui choisit le thème. Il y a certains thèmes qui intéressent beaucoup les filles, certains thèmes qui intéressent les garçons, parfois certains thèmes qui ne l'intéressent pas du tout, ni les garçons ni les filles.

Q- Sentez-vous que les étudiants sont capables d'accomplir des tâches ?

R- Oui, simplement il faut leur cibler l'objectif de l'exercice c'est-à-dire quand on leur explique l'objectif et le but de cet exercice. Généralement, comme j'ai fait un travail et le travail a été fait sur un papier c'est-à-dire qu'il y a une motivation chez les étudiants seulement ce qui leur manque parfois, le manque d'intérêt de la part de l'enseignant. L'enseignant ne leur donne pas l'occasion de s'exprimer et d'aller chercher l'information, d'aller chercher leur besoin d'apprentissage. Les étudiants, ils ont les désirs d'apprendre, on sent qu'on ne les intéresse pas de cette manière, parfois la faute est à l'enseignant. Il faut savoir les intéresser.

Q- Est-ce que vous donnez un temps suffisant aux étudiants pour accomplir des tâches ?

R- Certainement oui, parfois on fait des rallonges. On leur donne suffisamment de temps, on leur explique, l'objectif n'est pas de pénaliser ou de récompenser. Pour moi, personnellement, on fait le travail, je leur donne le travail c'est pour eux-mêmes et c'est pas pour l'enseignant c'est-à-dire c'est pour leur propre apprentissage.

Q- Que faites-vous pour responsabiliser vos étudiants ?

R- Je leur donne franchement, pour les responsabiliser, je leur donne suffisamment de liberté pour s'exprimer.

Q- Est-ce que vous proposez des activités collectives ou individuelles ?

R- Il y a les deux, je propose c'est-à-dire ça dépend de la nature de l'exercice que je leur donne. Parfois, je donne un travail c'est-à-dire quelquefois vue le volume horaire, parfois je donne des exercices c'est-à-dire à faire en commun, parfois, individuellement pour cibler c'est-à-dire les lacunes de chaque étudiant.

LISTES DES FIGURES ET DES TABLEAUX

I-Listes des figures

Figure n°1 : Le modèle de Viau ...................................................27

Figure n°2 : La théorie attributionnelle de la motivation par Weiner (1985), simplifiée et adaptée au contexte scolaire (Huart, 2001, p.228).................32

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"Un démenti, si pauvre qu'il soit, rassure les sots et déroute les incrédules"   Talleyrand