À mes parents,
Roger et Hélène KOLOKOSSO à
Bédiang.
Recevez ceci comme le mille milliardième de ce que je
VOUS dois.
REMERCIEMENTS
La réalisation effective de cette étude a
été rendue possible par la collaboration et la participation de
quelques personnes à qui nous tenons à exprimer notre profonde
gratitude. Nous rendons grâce, avant tout, à Dieu et à
son Fils, Eux qui, dans leur infinie bonté, ont mis à notre
disposition autant d'énergie et d'intelligence nécessaires
à l'accomplissement de ce travail.
Dans le cadre de la direction de ce mémoire, nous avons
apprécié en particulier la compréhension et le concours du
Pr. Laurent Charles BOYOMO ASSALA et de M. Etienne NJIMBON qui, en dépit
de leurs nombreuses occupations, ont pourvu à notre encadrement avec
patience et dévouement. Nous adressons également nos
remerciements en particulier à tous les enseignants de la Faculté
de Sciences sociales et de Gestion, ainsi qu'à l'ensemble du personnel
administratif de l'Université.
Pour leur appui à la fois matériel, moral et
spirituel, nous exprimons notre gratitude à l'endroit de Daniel,
Marielle et Junior KOLOKOSSO, LONANG Serge, ainsi qu'aux familles EFFONG, NDAYI
MPINDA et TONYE. Nous sommes également reconnaissants à BEGNIKIN
Jean Joël et MEFOUTE Alphonse qui, par leurs conseils et leur encadrement
soutenu, ont stimulé sans cesse notre motivation à des moments
où la tentation d'abandonner cette étude était
insoutenable, et cela compte tenu des multiples difficultés qui se sont
présentées.
Nous adressons enfin un grand merci à tout le personnel
de la CAMTEL, particulièrement à Mme HAMADOU, Chef service de la
gestion des carrières et à M. OWONA, Chef service de la formation
et du perfectionnement, pour tous les appuis dont nous avons pu disposer,
durant notre séjour dans cette entreprise. Nous ne saurions oublier
également M. BIKOE pour sa disponibilité, ainsi que les
précieuses informations qu'il nous a fournies.
Que ceux ou celles dont les noms n'ont pas été
cités présentement, et qui ont contribué, de près
ou de loin, au déroulement du présent travail, trouvent ici
l'expression de ma plus profonde gratitude.
RESUME
Le présent travail s'intéresse à
l'étude du sentiment de plafonnement de carrière
éprouvé par les travailleurs de la Cameroon Telecommunications
(CAMTEL). Par cette thématique, il était question de saisir les
mécanismes de perception mis en place par les salariés de cette
entreprise au regard de l'évolution globale de leur carrière.
Compte tenu des différentes approches théoriques
portant sur le plafonnement de carrière, notre travail s'est
centré autour de la question suivante : Quelle
signification les salariés de la CAMTEL, en situation de plafonnement
ressenti de carrière, accordent-ils à cette condition ? Et
partant de là, quelles attitudes adoptent-ils en réponse à
cela ? A ce questionnement nous avons formulé
l'hypothèse générale suivante : Le plateau de
carrière est vécu par le travailleur comme le signe de la non
reconnaissance de sa contribution à l'activité de l'entreprise.
De notre enquête menée par entretiens semi
directifs auprès d'une quarantaine de travailleurs de cette entreprise,
il ressort, que la sensation de plafonnement résulte principalement de
l'absence de réponses pertinentes (de la part de l'entreprise) aux
attentes des collaborateurs. Cette condition est donc saisie, de manière
globale, comme la non reconnaissance de la contribution des salariés au
rayonnement de cette entreprise. De plus, nous sommes arrivés à
montrer que le sentiment de plafonnement est effectivement modulable, et ce,
selon l'âge, le sexe, le statut professionnel et l'ancienneté du
travailleur. Le sentiment de plafonnement suscite, en outre, un faible
degré d'implication à la tâche, ainsi qu'un engouement pour
le développement d'activités parallèles.
Autant de faits qui confirment l'intérêt
suscité par la problématique du sentiment de plafonnement de
carrière et de son incidence, tant au niveau stratégique
qu'opérationnel.
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