Guerre, éducation et paix dans la philosophie politique de Rousseau et de Kant. Argument pour la paix et la bonne gouvernance.( Télécharger le fichier original )par Jonathan Kankonde Bakamana Université de Kinshasa - Maà®trise en philosophie 2009 |
5. LIVRE QUATRIEME:CONCLUSION.CE LIVRE PORTE SUR L'INDESTRUCTIBILITÉ DE LA VOLONTÉ GÉNÉRALE. « TANT QUE PLUSIEURS HOMMES RÉUNIS SE CONSIDÈRENT COMME UN SEUL CORPS, ILS N'ONT QU'UNE SEULE VOLONTÉ, QUI SE RAPPORTE À LA COMMUNE CONSERVATION, ET AU BIEN-ÊTRE GÉNÉRAL136(*). ROUSSEAU PRÊCHE L'UNANIMISME. CETTE VISION DU VIVRE ENSEMBLE, NOUS POUVONS L'ENTENDRE AVEC NGOMA BINDA COMME « LA CONSCIENCE NATIONALE » C'EST-À-DIRE « LA VOLONTÉ ÉCLAIRÉE ET INÉBRANLABLE DE VIVRE ENSEMBLE AU SEIN D'UNE ENTITÉ TERRITORIALE PRÉCISE »137(*). . En conclusion, le contrat social de Rousseau pose les principes de légitimité du pouvoir politique, envisage la finalité du politique et définit les attitudes concrètes que cette finalité exige des citoyens. * 136 CS, p.145 * 137 N. BINDA, LA PARTICIPATION POLITIQUE. ETHIQUE CIVIQUE ET POLITIQUE POUR UNE CULTURE DE PAIX, DE DÉMOCRATIE ET DE BONNE GOUVERNANCE, 2ÈME ÉD., REVUE ET AUGMENTÉE, KINSHASA ,IFEP, 2005, P.51. |
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