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Etude des idéophones d'une langue kwa: l'abouré éhè

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par Ben Martial BEGROMISSA
Université de Bouaké - Côte d'Ivoire - DEA 2012
  

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CHAPITRE IV : DEVELOPPEMENT DE LA THESE GENERALE

Chaque science a une histoire qui s'inscrit dans le cadre général de l'histoire des sciences ou de la science. Tout comme, chaque recherche comporte une thèse générale qui prend forme dans plusieurs thèmes centraux ou questions centrales.

Développer une thèse revient à élucider les contours et les raisons de la démarche entreprise mais, surtout faire une analyse des différentes hypothèses auxquelles se rattache le point central du sujet.

D'abord, il y a les motivations de l'exercice d'une telle recherche que ... sans oublier la langue elle-même, son peuple, un ensemble culturel mal connu. Ensuite, nous avons les premières impressions du sujet et des principales notions qu'il renferme, formulées dans les hypothèses.

On part d'abord de l'hypothèse générale qui veut appréhender les idéophones comme des mots subjectifs (dans leur apparition) au niveau de la production d'un énoncé.

Cette dernière est soutenue par un ensemble de plusieurs autres plus spécifiques qui prennent en considération les fonctions originelles des idéophones dans les langues du monde, fonction expressive, fonction que nous allons démontrer dans la langue Abouré. Sans oublier que cette fonction pourrait être rehaussée par une autre plus particulière et qui captive notre curiosité celle de l'économie du langage et de caricature du langage que pourrait relever l'utilisation des idéophones en général et des idéophones de l'abouré en particulier.

Après cela, suivent les objectifs de la recherche :

- cerner la notion même d'idéophone ;

- comprendre le fonctionnement et l'usage de ces mots dans la langue abouré ;

- déterminer leur proportion dans la langue ;

- Etc.

Ainsi, la réflexion engagée nous permet d'avoir un aperçu sur ce qui est envisagé dans le déroulement de ce travail.

Depuis plus d'un demi siècle, les travaux qui ont fait des propositions théoriques concernant la question des catégories (ou espèces de mots ou parties du discours) peuvent se répartir en deux grands groupes selon qu'ils considèrent qu'il y a deux catégories fondamentales (Nom et Verbe) ou qu'ils proposent des systèmes basés sur quatre ou cinq catégories fondamentales (Adjectifs, adverbes,...).

Ces théories bien entendu, se fondent et se forgent sur les langues reconnues comme telles (français, Anglais, etc.).

Seulement, l'observation cruciale provient de ce que, dans certaines langues - africaines notamment - l'on s'interroge encore sur une certaine catégorie de mots auxquels l'on a du mal à trouver des correspondances dans les langues occidentales : les idéophones ; qui dans les subsahariennes assument à la fois un rôle en un sens comparable à celui des adverbes de manière et parfois à celui des adjectifs. Mais à la différence de ceux-ci, les idéophones constituent une classe numériquement très importante.110(*)

Le point essentiel de ce travail, est de montrer que cette classe de mots idéophones a pour fonction `'l'expressivisme'' que JAKOBSON a appelé la « fonction poétique »111(*).

Au-delà, c'est le lieu de montrer que ces mots que l'on pourrait qualifier de `création lexicale' participent à l'enrichissement des langues en lesquelles on les retrouve, mais aussi montrer leur utilité dans les faits de langues (africaines) et dans le langage abouré Êhé et, s'enquérir également des questions qu'ils génèrent dans la langue en question.

D'un côté, se pose le problème de leur structure c'est-à-dire des procédés qui subsistent à leur morphologie.

D'un autre côté, il faudra aborder les questions des motivations aboutissant à leur intervention dans le langage abouré.

La thèse principale de ce travail se profile autour d'interrogations bien distinctes sur les idéophones en particulier. Il faut relever à ce propos, deux idées fondamentales. La première soulève trois (03) éléments essentiels qui sont : le statut (celui des idéophones au niveau de chaque langue à cause de leur familiarité avec certains mots comme les onomatopées), la structure (structure qui n'est pas encore définie et qui varie d'une langue à une autre) et la fonction (qui englobe le sens, le rôle et les différents attributs que peuvent remplir les idéophones selon les langues dans lesquelles on les retrouve).

L'idée qui suit est une application de la précédente sur la langue abouré. Il s'agit donc de circonscrire la fonction principale (sens et valeur) des idéophones de l'abouré, de présenter leur structure morphologique et ensuite leur statut qu'il faudra déterminer dans la langue visée.

Il faut donc à ce propos appréhender trois situations :

- structurelle ;

- sémantique (ambiguïté) ;

- prosodique (stylistique ou diaphasique).

Ainsi, la thèse qu'il convient d'élucider dans ce projet sur la signification et l'importance des idéophones dans la langue abouré, peut s'analyser à trois niveaux  distincts, dans l'ensemble des langues africaines en générale et en particulier du langage oral abouré.

Ces niveaux abordent essentiellement :

- (a) les questions d'équivalence distributionnelle (possible) entre adverbe de manière, adjectifs et idéophones ; et celle de correspondance entre idéophones et onomatopées ;

- (b) l'usage assez déterminant des idéophones dans les faits de langue telles que les injures en abouré et comme on peut le voir ailleurs dans les langues africaines;

- (c) la présence des idéophones dans les énoncés narratifs à travers leur fonction révélatrice, celle de faire revivre les évènements et faits passés.

Notons tout de suite (car cela aura une incidence sur la suite de cet exposé) 112(*)que le fait de considérer l'adverbe comme variante positionnelle de l'adjectif implique d'exclure de cette catégorie un certain nombre de formes traditionnellement étiquetées adverbes, et pratiquement de ne retenir comme adverbes que les mots traditionnellement étiquetés `'adverbes de manière.''

(a) Ces questions portent sur la catégorisation des idéophones dans la langue et des différentes classes auxquelles l'on pourrait signifier leur appartenance.

En effet, les idéophones dans bien des cas s'apparentent à des adverbes de manière. Il suffit pour s'en convaincre d'apprécier les exemples suivants :

Exemple 1 :

(a) ê sin talê vlum !

litt. le feu prit IDEO.

`le feu s'est enflammé'

(b) am songuê yê dékà gbugblo !

Litt. Ils giflent il tombe IDEO.

`Ils l'ont giflé il est tombé gbugblo !

(b) yê tchitchi kêï gbêgblêklô !

Litt. il attache ça comme IDEO. (dur dur)

`Il l'a attaché solidement'

Dans l'exemple (1.a), il s'agit bel et bien d'un idéophone et d'une onomatopée(...) qui représente ainsi le bruit violent d'une flamme par exemple lorsque vous laisser passer une grande quantité de gaz au cours de l'allumage d'un feu d'une cuisinière à gaz. Comme onomatopée, c'est une imitation du bruit de la flamme et comme idéophone, c'est une expression représentant le son du bruit de la flamme.

C'est dans un autre sens, une façon particulière pour le locuteur de transmettre de manière pertinente le message qu'il souhaite donner. Qu'il s'agisse dans le cas d'espèce, d'une situation similaire, c'est la sensibilité du message à transmettre qui nécessite l'usage de l'idéophone.

En abouré, la présence de l'idéophone traduit l'idée d'une propension du feu de la flamme en signifiant dans le cas présenté que le feu flambe soit que la flamme se propage.

Dans l'exemple (1.b), l'idéophone « gbugblo » est utilisé ici comme adverbe de manière et cela se justifie. En réalité, l'idéophone n'apparaît là que soit par besoin stylistique, soit par nécessité de décrire avec précision une action passée soit par commodité humoristique. Au départ nous avons : am songuê yê dékà `'ils l'ont giflé il est tombé''. Ensuite nous avons : am songuê yê dékà gbugblo ! `'Ils l'ont giflé, il est tombé gbugblo ! `' Qui, en réalité voudrait signifier `'Ils l'ont giflé, il s'est écroulé'' typique d'un langage soutenu donc à l'effet de style ou mieux, pour décrire l'immensité du choc de la personne giflée qu'on peut traduire par `'ils l'ont giflé, il est tombé brutalement'' où l'idéophone peut s'appréhender ici comme un adverbe de manière.

On peut notamment mieux l'illustrer par cette autre phrase de l'exemple (1.c) : yê tchitchi kêï gbêgblêklô ! Traduite par `'il l'a attaché solidement''.

113(*)En suivant DENIS CREISSELS nous pouvons affirmer qu'on ne peut donc pas aborder la question des idéophones sans aborder celle des adverbes de manière dans les langues africaines.

Cependant, contrairement à ce que suggère le terme même d'idéophone et de l'usage qui peut en être fait dans la description des langues, il s'agit bel et bien d'un ensemble de mots qui constituent une catégorie au sens ou ces mots participent à la construction des phrases avec une distribution particulière, dont les détails varient d'une langue à une autre, mais qui les distingue de toutes les autres catégories lexicales.

En outre la distribution des idéophones ne peut pas se confondre avec celle des mots comparables aux adverbes de manière des langues européennes. C'est au niveau des significations qu'ont peut trouver une certaine affinité avec les adverbes de manière à ceci près que les idéophones apportent une nuance d'expressivité dont sont dépourvus par eux-mêmes les adverbes de manière.

(b) L'usage déterminant des idéophones dans les faits langagiers tels que les injures dans la langue abouré.

En effet, il faut remarquer qu'il ne serait pas absurde de reconnaître une telle catégorie dans la systématique des espèces du français.

Puisque, des mots comme boum, dodo dans les expressions telles que faire dodo ou faire boum, rappellent beaucoup les idéophones des langues subsahariennes comme le Wolof ou le Tswana.

On objectera peut-être que certains au moins de ces mots peuvent aussi s'utiliser comme noms, mais des faits analogues ont été observés dans les langues où une telle classe d'idéophones a été reconnue, et où on doit reconnaître une certaine perméabilité entre la classe des idéophones et les autres classes (nom, adjectifs) qui partagent avec les idéophones des propriétés communes114(*).

Exemples 2 :

Dans la phrase `'ta tête est grosse'' par exemple, nous aurons :

(a) yô té gni'hngué

Litt. ta tête grosse

`ta grosse tête'

(b) yô té gbagba !

Litt. Ta tête gbagba !

(c) yô té makê dansinnin

Litt. Ta tête comme marmite

`Ta tête est grosse comme une marmite'

Les injures dans la majorité des langues (africaines) ivoiriennes se construisent selon un critère bien précis qui est que, l'injure a une valeur sémantique qui se réfère essentiellement à une partie du corps de la personne à qui elle est proférée. Selon WILLIAM SAMARIN, la description linguistique de cette partie du corps est faite à partir d'idéophone exemple (2.a) et (parfois de comparaison (2.c). Cet idéophone, peut se confondre avec la fonction adjectivale comme en (2.b).

D'autre part, les idéophones employés dans l'injure sont attestés soit dans leur position habituelle, c'est-à-dire au sein d'une proposition qui comporte un verbe ou comme modificateur d'une proposition nominale (2.a). Cet emploi de l'idéophone dans ce cas caractérise l'injure et lui donne de la sorte un sens comique. Puisque, le locuteur n'est pas obligé d'utiliser l'idéophone dans ce cas présent. Il aurait pu, en raison de l'existence de l'adjectif `'gros'' `'gni'hngué'' dire `'yô té gni'hngué''. A ce moment précis, l'idéophone souligne un élément important au niveau des injures : leur construction peut s'appuyer en grande partie sur ces supports linguistiques spécifiques qui sont les idéophones.

(c) A ce stade de l'étude, nous n'avons pas les outils et les données nécessaires pour apporter des illustrations précises et concrètes pouvant attester cette hypothèse qui d'ailleurs constitue une autre démarche à entreprendre et une difficulté à surmonter qui requiert une entreprise plus approfondie.

Cette partie sera reprise et largement traitée dans la thèse proprement donnée115(*). Cependant, la perspective de ce travail entrevoit un autre défi, une autre analyse, une autre approche. Si les idéophones sont reconnus pour la plupart comme des mots ayant pour fonction essentielle la représentation des émotions, sensations et perceptions dans pratiquement l'ensemble des langues du monde et surtout des langues subsahariennes, on peut implicitement percevoir le caractère pertinent de l'usage des idéophones dans l'économie du langage.

On peut aussi, pour des besoins explicatifs et scientifiques mentionner ces conclusions des travaux de Kilian-Hatz et F. K. Erhard Voeltz au Symposium International sur les Idéophones de Janvier 1999 à St augustin en Allemagne.

Pour ces derniers, les idéophones sont universels, et constituent une classe grammaticale - il faut l'ajouter idéophones - dans toutes les langues du monde et que, ces mots ont une fonction dramaturgique particulière qui les différencient des autres mots : ils représentent un événement, une émotion, une perception à travers le langage oral.

Dans cet article, ils mettent à notre portée deux remarques : les langues se servent différemment des idéophones. La première caractéristique des idéophones et la plus répandue est l'introduction des idéophones dans les langues comme « complementizer » c'est à dire des prédicats qualificatifs.

Une autre caractéristique concerne la « sound symbolism », la symbolique du son, capacité de représentation des sons des idéophones qui font d'eux des mots particuliers.

Kylian et Voeltz sont suivis dans leur exposé par David Beck. Celui-ci s'intéressera lui à la structure des idéophones avant de relater les différentes fonctions et rôles à eux attribués.

Selon David Beck, les idéophones :

- se distinguent par des propriétés syntaxiques, morphologiques et syntaxiques ;

- on tendance à avoir une fonction émotive ;

- sont associés aux registres de langue oral et dramatique.

Dans un précédent article intitulé `'What motivates ideophones constructions ?''116(*), il définit les idéophones avant d'affirmer et de souligner la difficulté de les ranger dans les classes grammaticales classiques.

Dans cette étude sur la structure et la construction des idéophones d'une langue finnoise l'auteur relève un autre usage des idéophones comme formes onomatopéiques descriptives et expressives.

Il soulève ainsi, un autre débat sur les critères distinctifs des formes expressives du langage c'est à dire les traits et les arguments permettant de faire une distinction entre onomatopées, idéophones et néologismes. Il considère alors que la construction de certains idéophones est motivée par deux sources principales : un son (ou l'action) comme un élément de l'évidence qui permet de dire qu'une action se produit et la fonction phonique comme donnée particulière en ce qui concerne la nature de l'action ou du procès.

Au final, nous tirons des réflexions qui suivent de nouvelles conclusions :

- l'universalité des idéophones ;

- l'existence des idéophones comme une classe de mots à part entière.

Cette brève analyse de la thèse générale du projet, nous conduit vers une vision des perspectives de la thèse proprement dite.

v Perspectives de la thèse

Aucune recherche scientifique ne peut se soustraire à l'implication de moyens conséquents (matériel, technique, financier,...) pour sa réalisation et faisabilité ; de même pour la pertinence et l'excellence de ses conclusions. Même s'il paraît précipité, pour le chercheur de faire mention du temps qui lui sera imparti, il est cependant important qu'un travail de recherche s'appuie, pas seulement sur une méthode mais aussi sur une organisation temporelle qui jumelle, prospection du terrain de recherche et collecte des informations, analyse et exploitation des sources. Ce qui précède nous mène à un chronogramme, élaboré aux fins de mener avec sérénité et enthousiasme cette recherche, et par-dessus tout la matérialiser.

L'annexe ci après nous renseigne sur la démarche projetée.

· Chronogramme

Février

 

Mai

Juin

Août

Novembre

Décembre

Année

 
 

11 du mois

1ère correction de la 1ère partie

 

13 du mois

2ème correction de la 1ère partie

12 du mois

3ème correction de la 1ère partie

 

2012

09 du mois

1ère correction de la deuxième partie

 

12 du mois 2ème correction de la 2ème partie

 

13 du mois

1ère correction de la 2ème partie

05 du mois

2ème correction de la 3ème partie

 

2013

12 du mois

3ème correction de la 3ème partie

 

13 du mois

1ère correction de la 4ème partie

 

17 du mois

2ème correction

De la 4ème

Partie

05 du mois

3ème

Correction de la 4ème partie

 

2014

La réflexion sur l'étude des idéophones de l'abouré peut impliquer un nombre important de réalités (réalités du terrain face à la réticence des actants source du substrat, l'incompréhension du sujet, difficulté de compréhension de l'étude, de réception des informations et de rétribution des données, informations etc.).

Le schéma ci-après résume bien ce qui est envisagé pour parer éventuellement à ces divers paramètres relevés plus haut.

Projet de recherche empirique

ETAPE : I

Manifestation de la position marginale des langues ivoiriennes et de l'intérêt culturel des études sur les langues dans le développement.

Explication du bien-fondé

Des recherches sur l'abouré.

ENTRETIENS

INTERVIEWS

CONVERSATIONS

ETAPE : II

Explication du but de

La recherche.

Idéophones

Mots

Onomatopéiques

ETAPE : III

Recueil des idéophones.

ETAPE : IVRésultats et analyse des données des actants et acteurs.

Mise en contexte des

Idéophones.

Comme on peut le voir, la démarche entrevue pour la réalisation de cette recherche présente quatre étapes. La première étape serait d'informer les acteurs de cette entreprise de l'intérêt de cette étude. La deuxième étape concerne l'explication du but de la recherche et la présentation des idéophones, quand la troisième étape se fixe pour but l'enregistrement des données.

Pour finir, la quatrième regroupe l'analyse des résultats, le bilan des analyses de la recherche.

Cette phase sera appuyée par l'exploitation des travaux déjà faits sur la langue et susceptibles de contribuer à l'authenticité de ce travail de recherche.

* 110 Voir CREISSELS DENIS.

* 111 JAKOBSON (R.), « Closing Statements: Linguistics and Poetics », in Style in language, Cambridge, Mass., MIT Press, 1960, pp.350-377.

* 112 Cette précision s`appuie sur une idée du Professeur Denis Creissels quand à la classification abusive de certaines catégories grammaticales reconnues comme telles.

* 113 Cf. note 36.

* 114 CREISSELS (Denis), « Adjectifs et adverbes dans les langues subsahariennes », Colloque sur les Théories linguistiques et langues subsahariennes, Université de Paris VIII, 6-8 Février 2002, pp.1-24.

* 115 Se référer au plan concernant le chapitre dédié à l'étude du sens et de la valeur des idéophones dans la langue abouré.

* 116 http://linguistics.berkeley.edu/~iclc/pdfs/a661.pdf.

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"Il existe une chose plus puissante que toutes les armées du monde, c'est une idée dont l'heure est venue"   Victor Hugo