| - Une vaste expérience dans les activités avec
la communauté locales du territoire de Beni et Lubero les membres du
GADHOP ont un  minimum de dix ans d'expérience ; - forte conscience du réseau et  unanimité qui
est un scénario pour unir des efforts ;  - grand domaine des différents canaux de communication
par les membres: les rapports aux formes internationales, la connaissance de
l'Internet, -  Disponibilité d'un animateurs/ces  par programme
avec des formations Spécifiques,  - Le bon fonctionnement des synergies au sein du
GADHO ; - Large consensus sur le rôle du réseau en tant
qu'acteur du lobbying sur les autorités ; - Crédibilité de gestion et bon fonctionnement
des organes dirigeants - Bonne relations avec les autorités
Etatiques ; - Capacité de se maintenir en place pendant dix ans
sans rupture de financement. | - peu de canaux de communication horizontale utilisée
(basée sur la proximité), - canaux de communication verticale pas établis: on
perd des informations très importantes, - public cible non identifié et donc pas adapté
au message à transmettre ; - communication externe non structurée et
stratégie de diffusion pas réfléchie - insuffisance de communication interne (entre membres et
organes dirigeants) - dépendance financière des bailleurs
externes ; - insuffisances des contributions des organisations
membres, - fonctionnement difficile des organes de directions ; -      faibles participation aux financements des projets - faibles stratégie de pérennisation des
actions | - Possibilité de se faire accompagné par les
experts internationaux - Confiance des bailleurs des fonds - Présences de certains bailleurs dans la
région - Adhésion dans plusieurs réseaux d'ONG de son
domaine, - Attention de la communauté internationale sur son
rayon d'action, - Période post électorale pour la consolidation
de la paix et la reconstruction du pays   etc. - Existence du plan local de développement. | - Résurgence de la guerre à l'est du pays, - Départ massif des ONG Internationales, - Insolvabilité des certaines organisations membres par
rapport aux cotisations annuelles, - Manque de bailleurs institutionnels, - Incapacité d'autofinancement, - Banalisation par l'Etat congolais des rapports sur les
violations des droits humains à les qualifiants de fonds de commerce
pour les ONG - Non implication des autorités Etatiques dans les
actions des organisations non gouvernementales. |