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La mise en place d'une base des données pour la gestion de la facturation des abonnés de la Regideso.

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par Sylvain MUKENDI
isic kananga - Graduat 2016
  

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1.5.3. LE MODELE ORIENTE - OBJET.

Ils sont issus des réseaux sémantiques et des langages de programmation orientés objets. Ils regroupent les concepts essentiels pour modéliser de manière progressive des objets complexe encapsules par des opérations de manipulations associées.

Ils visent à permettre la réutilisation des structures et d'opération pour construire des entités plus complexes, le modèle ment ensemble les objets et les traitements pour décrire des systemes présentant et adaptant au contexte de base de données, les caractéristiques d'identité objet (nom) des classes (ensemble d'objet et de traitement) et d'héritage (réutilisation des traitements). Donc Les SGBD objet enregistrent les données sous forme d'objets :

- les données sont enregistrées avec les procédures et les fonctions qui permettent de les manipuler ;

- Ils supportent la notion d'héritage entre classes d'objets complexes (les pointeurs remplacent les jointures pour les structures hiérarchiques) ;9(*)

- A priori, beaucoup d'avantages sur le relationnel, mais manque de normalisation et de standard inertie de l'existant (presque toutes les bases actuelles sont de type relationnel)

Exemple du modèle objet

1.5.4. LE MODELE RELATIONNEL

Suite a ses recherches au centre d'IBM a San Jose, le mathématicien E.F. CODD propose en 1970 une théorie rigoureuse pour l'élaboration d'un modèle de données constitue de relations, c'est a dire de tableaux a deux dimensions. Ce modèle s'inspire directement de la notion mathématique de relation. Ce modèle relationnel permet de représenter les données sous forme de table.

Il est simple ce qui le rend attractif pour les utilisateurs car =il est facile a comprendre et a manipuler. De plus, il repose sur des structures mathématiques simples, permettant l'usage d'un langage de requêtes concis et puissant. La première volonté du modèle relationnel fut d'être un modèle ensembliste simple. Les objectifs recherches par le modèle relationnel étaient :

· De traiter les données de façon formelle, en s'appuyant sur les théories mathématiques de CODD (algèbre relationnelle);

· D'assurer une indépendance entre la structure de stockage des données et les programmes, afin de pouvoir faire évoluer les uns parallèlement aux autres ;

· D'augmenter la productivité des programmeurs, en leur fournissant des outils et des langages rendant plus facile la manipulation des données.

Les années qui ont suivies l'apparition du modèle relationnel ont vu s'élaborer une théorie solide qui permet aujourd'hui de construire et d'exploiter des bases de données d'une manière très efficace en proposant :

· Une structure relationnelle de stockage des données ;

· La disparition de la représentation en graphe des données (représentation de BACHMAN) ;

· La suppression des "ficelles" physiques liant les données entre elles ;

· La facilitation de l'accès aux données pour les utilisateurs, notamment non informaticiens.

Le rapprochement entre données est possible grâce à l'existence de domaines communs dans l'ensemble des relations (tables) de la base de données. Les recherches et mises à jour sont effectuées à l'aide d'un langage non procédural et non navigationel, permettant de spécifier les données que l'on veut obtenir sans dire comment y accéder, ainsi que de traitements ensemblistes. C'est donc le moteur du SGBD qui doit déterminer le meilleur plan possible d'accès aux données.

Le SGBD Relationnel a comme objectifs

· Proposer des schémas de données faciles à utiliser

· Améliorer l'indépendance entre données et traitements

· Mettre a la disposition des utilisateurs des langages de haut niveau

Optimiser les accès a la base

· Permettre le développement de nombreuses applications

LES BASES DE DONNEES RELATIONNELLES (BDDR)

Les BDDR sont conçues à partir du modèle rationnel, elles sont d'une grande importance du fait de leur popularité au sein de la recherche et de l'information de gestion. Le succès des BDDR tient essentiellement à leur simplicité. Elles ne contiennent qu'une seule structure de données : tables, avec des lignes et des colonnes et les relations reliant ces tables. Hainant, 10(*)Jean -Luc, lui définit une BDDR comme une collection de tables des données ou fichiers plats, une structure extrêmement simple et intuitive qui , pour l'utilisateur du moins ne s'encombre d'aucun détails techniques concernant les mécanismes de stockages sur disque et d'accès aux données.

a. Table : est une entité qui contient (une suite de lignes stockées sur un support externe. Elle peut être définie comme étant un groupe de propriétés, reflet d'un objet présentant un intérêt pour le système étudié dotée d'une existence propre, et identifiable.

b. Ligne (tuple ou replets) de la table : est une suite de (une ou) plusieurs valeurs, chacune étant d'un type détermine. D'une manière générale, une ligne regroupe des informations concernant un objet (entité), un individu, un événement, etc. dans une BDDR, tous les signes présents dans une table ont le même format ou la même structure.

c. Colonne (attribut) de la table : est l'ensemble des valeurs de même type correspondant à une même propriété des entités décrites ; ces colonnes jouent des rôles différents vis=à=vis des entités représentées par les lignes d'une table. Une colonne donnée joue le rôle d'un identifiant, d'une clé étrangère, d'une information complémentaire etc.

- Identifiant : c'est une colonne choisie pour identifier une entité et aussi la ligne qui la représente dans la table c'est a dire qu'elle distingue sans ambigüité l'occurrence d'un objet.

- Clé étrangère : c'est une colonne constitue de l'identifiant d'une autre table et joue un rôle de référence a une ligne de cette table ; on l'appelle ' colonne de référence ' ou 'clé complémentaire sur l'entité'.

d. Relation (La relation est encore appelée table relationnelle ou table)

* 9 Arnold Roch et Jose, M., La méthode Merise, pp. 23=25.

CITUMBA J., techniques des bases des données, G3 Info, ISGT, 2012, Inédit.

Arnold Roch et Jose, M., La méthode Merise, pp. 23=25.

CITUMBA J., techniques des bases des données, G3 Info, ISGT, 2012, Inédit.

* 10 Jean=Luc Hainaut, Base de données et modèles de calcul, 2eme ed. Dunod, Paris, 2000, pp. 31=40.

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