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Processus de la participation communautaire aux activités de soins de santé primaires dans le district sanitaire du Sud Sud-Kivu en RDC

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par Noé Kaskil ASSUKULU MAKYAMBE
Institut supérieur de management de Bukavu  - Licence en santé et développement 2011
  

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2. REVUE DE LA LITTERATURE (ETAT DE LA QUESTION)

La dynamique communautaire figure parmi les cinq piliers de la stratégie de croissance et de réduction de la pauvreté en RDC. Elle est entendue comme l'organisation d'une population en association en vue de se prendre en charge et résoudre les problèmes vitaux de la vie quotidienne. Elle mobilise la population à participer à l'amélioration de la qualité de la vie dans un processus de responsabilisation et de solidarité pour un développement durable21.

19 BULONDO et All, Particom aux programmes de SSP dans la ZSU Goma , Cahier de CERUKI 2008 N036 P 121,126

20 Rapport d'état de lieux de ZS du district sanitaire du Sud

21 Op cit 13

20

En 1990 après une période d'intervention de huit mois, la particom au programme de SSP a augmenté grâce à une motivation des OAC dans la ZS de Kole au Kasaï Oc , dans la ZS de Drodro par contre , la particom au service de CPS ,CPN et maternité a augmenté en moyenne de 26% après six mois d'intervention auprès des OAC alors que dans la ZS de Kaziba et Uvira les activités de COSA se sont améliorées à 86% et celles des OAC à 76 % après une bonne allocation de tâche et clarification de rôles des OAC te membre de COSA 22

En 1998 à Dakar, AWA TIAM NGOM, dans ses recherches sur la particom à l'effort de santé au CHU de FANN prouve que l'analphabétisme et l'ignorance sont des freins à la réalisation des objectifs de la particom. Ils sont autant de facteurs limitant pour l'appréciation juste dans tous les paramètres du domaine de la santé attendue par les bénéficiaires23.

La population n'est pas encore mûre pour comprendre son rôle et l'importance de son action sur le développement sanitaire. Surtout que celle-ci avait toujours pensé que la santé était gratuite. Elle est consciente de sa contribution mais n'en comprend ni le sens, ni l'enjeu pour elle et pour le pays. L'éducation, l'information et la sensibilisation font défaut car les collecteurs ont des

difficultés certaines à amener les usagers à acheter le ticket de consultation. L'enjeu est important étant donné que cette contribution permet de relever la qualité des soins. Mais, le degré d'implication est encore loin d'être atteint, les COSA sont considérés comme les «chevilles ouvrières» de la particom.

Grâce à leur participation à l'effort de santé, l'hôpital se trouve peu à peu enrichi de matériel médical, d'un personnel communautaire, de médicaments etc. Ainsi le budget de l'Etat n'est plus épuisé grâce à l'apport de la Particom.

Expérience de l'OED, Une approche intégrée de développement urbain a été mise en place depuis 1999 dans les Bidonvilles (favelas) de Ribeira Azul à Salvador Au Brésil, et s'est intéressée à la possibilité d'inclure les habitants des bidonvilles dans la conception, l'opération et la maintenance du système d'eau et d'assainissement à construire.

Finalement, le projet a été un point de départ pour le développement de la communauté et de ses membres dont la particom a été un élément clé du succès du projet, aussi bien pour sa mise en oeuvre que pour son impact durable 24

22 MASUMBUKO B dans évaluation de la particom dans la ZSR de Kirotche, Goma 1987 Page 87

23 AWA Tiam N dans : Particom à l'effort de santé au CHU de FANN/Dakar 1998

24 Op cit 3

En juillet 1999, Dr AMHAMED ANAS Belghali dans son mémoire qui a travaillé sur l'analyse du processus de la particom au projet minimum de développement, Cette étude a fait ressortir qu'il s'agit d'une participation étroite pour la direction et la gestion des activités et d'une participation limitée pour l'appréciation des besoins, l'organisation communautaire et la mobilisation des ressources.

La participation par rapport à chacun de ces facteurs semble être influencée par la façon dont ont été implantées les différentes composantes du projet.

L'adhésion de la communauté et son engagement restent faibles. En effet, seules les coopératives sont étroitement suivies. Les accoucheuses traditionnelles formées ne sont pas supervisées, la borne fontaine réalisée dans le cadre de l'adduction de l'eau potable n'est pas fonctionnelle et le terrassement des pistes n'est pas encore réalisé.

Quoique la valeur positive de la particom soit largement reconnue, il reste beaucoup à faire en pratique. Pour aboutir à des projets communautaires réalisables, il est de plus en plus nécessaire d'avoir des personnes convaincues de cette valeur. Il serait temps d'envisager la particom dans le cadre d'une politique globale du pays. L'institutionnalisation éventuelle d'une telle démarche est nécessaire parmi d'autres préalables.

En 1999, BARBARA MONAHAN & Al en Zambie, dans leur article intitulé accepter la participation dans le développement « en Zambie la Mentalité de la Deuxième République (MDR) était considérée comme un obstacle majeur dans la mobilisation des gens pour prendre en main le développement de leur propre communauté car elle se réfère à la préférence des gens par rapport à leur dépendance des dons25.

En 2002, Dr ABEL BICABA avait traité sur le protocole de recherche pour la particom, il a enfin résolu que sur le plan de la mobilisation sociale il y a une faible implication des populations dans les différentes stratégies développées pour le PEV et ceci malgré la mise en place des COGE au niveau des différents CS.26

En 2003, LANGLY.J - ESCALON au Burkina-Faso, dans ses recherches sur l'impact de la particom sur la qualité des services semblent parfaitement montrer que les populations ne sont encore que très rarement parties prenantes des décisions. La particom est réduite à la partie congrue. Par exemple, au cours d'une supervision à la wilaya du Trarza en 2001 quelques usagers prétendent que très peu de personnes connaissaient l'existence des COGE. La grande majorité

25 Barbara Monahan & Al : accepter la particom dans le développement, Octobre 1999

26 Dr Abel Bicaba, MD.MPH protocole de recherche sur la particom, mini santé Burkina-Faso Aout 2002

des personnes interrogées (78%) à Bababé (wilaya du Brakna) en 2001 ont affirmé ne pas avoir été ni associées et ni être tenus au courant de la prise des décisions par les COGE »27

En septembre 2003 au Mali, MAMADOU KANI Konaté & Al ont mené de recherches sur la politique de sacom et viabilité économique et sociale de CS communautaire (CSCOM) ont aboutit aux résultats tels que le fonctionnement réel et leur capacité de mobilisation et d'organisation des populations à la base rencontrent des difficultés.

Certaines lacunes telles que l'absence d'évaluation de base et de suivi dans le processus de création et de gestion des CSCOM ressortent de plus en plus28.

En juillet 2008, DR BINETA SENE SEMBENE dans son mémoire qui traite sur l'évaluation de la particom au processus de planification dans un système de santé prouve que l'évaluation du processus de la participation communautaire aux activités de SPP est faite sur base de cinq facteurs dont : l'appréciation des besoins de la population, la direction des activités, l'organisation communautaire, la mobilisation des ressources et la gestion des activités

Elle conclut en disant qu'assurer un développement de la particom nécessite un certain nombre de conditions qui vont de l'identification des secteurs d'activités concernés jusqu'à l'instauration d'une instance de régulation de l'action communautaire, en passant par les professionnels des différents secteurs et l'identification des rôles et taches de tous les représentants de la communauté dans les actions à entreprendre. Une planification coordonnée au niveau communautaire permettra d'articuler étroitement les soins de santé primaires avec les autres secteurs dans des actions conjuguées29.

J BENOIT FALISSE avait mené une étude au Burundi auprès de Comités de Santé et les Associations Locales dans les provinces, les résultats ont montré que le PBF semble améliorer la particom car il implique une clarification des rôles de chacun, propose une forme de supervision (même minimale) et il fournit des incitations aux bénévoles.

En outre, la capacité de l'ensemble doit encore être renforcée ; Pour 40% des Associations Locales, 30% des CODESA et 30% du personnel de santé, la population n'est pas encore capable d'une bonne gestion de CS30 .

27 Langly.J - Escalon et al. 2003 in « impact de la participation communautaire sur la qualité des services ».

28 Mamadou K Konaté & Al dans politique de sacom et viabilité économique et sociale de CS communautaire au Mali, Septembre 2003, UNRIDS

29 DR BINETA SENE SEMBENE, évaluation de la particom au processus de planification dans un système de santé juillet 2008 Inédit.

30 Jean-Benoît Falisse. Consultant Cordaid - 29.02.2010 in La participation communautaire dans les Centres de Santé et le Financement Basé sur la Performance (FBP)

22

Expérience de l'UNICEF , Au Soudan, le gouvernement en partenariat avec l'Unicef ont lancé l'initiative communautaire en faveur des enfants qui aboutit à la création de 378 communautés dans neuf provinces plus défavorisées du pays et a démontré l'exemple en bâtissant les écoles, en aidant les enseignants et en encadrant les activités scolaires ; ces communautés participent en outre à la construction de latrines et installation sanitaire dans les écoles où le programme d'étude traite de question de base de santé et hygiène à ceci s'ajout de club de santé qui rappel également aux enfants l'importance de la vaccination et ont commencé à proposer de séances de sensibilisation au VIH/Sida 31

En RD Congo,Les expériences développées dans les zones de santé de Yangala et Mikope dans la Province du Kasaï - Occidental ont permis de constater que la population est capable de financer les interventions à une certaine hauteur ; la faiblesse dans la collecte et le traitement de données ; des expériences de financement communautaire fait penser que la pauvreté de la majorité de la population est un frein à l'accessibilité de la population aux services disponibles, pourtant celle-ci à continuer à contribuer au financement de services de santé malgré la guerre 32

3. HYPOTHESE

Les Questions sus évoquées nous ont donné le souci de formuler nos réponses provisoires en ce terme :

1 la participation communautaire est à la base de l'amélioration de services de santés offerts à la population dans les zones de santés du district sud

1 la motivation de relais communautaire aux activités de SSP peut amener ces derniers (RECO) à s'impliquer activement aux activités de SSP

1 L'insuffisance de l'implication des collectivités locales (RECO) aux activités de SSP est liée à
l'absence de mesures d'accompagnement de communauté par la politique nationale de santé.

4. CHOIX ET INTERET DU SUJET

Tout au long de ces dernières années, la RD Congo a vécu dans un contexte marqué par le désengagement de l'Etat; singulièrement en matière d'encadrement sanitaire et de prise en charge des populations.

Ce retrait se combine à des difficultés financières pour les individus d'accéder aux soins et aux médicaments ; dans ces conditions où le gouvernement ne dispose ni de ressources financières

31 Op cit 6

32 Op cit 8

propres, suffisantes, ni d'outils technologiques pour répondre aux besoins sanitaires croissants ; la participation communautaire s'est offert comme une alternative incontournable aux yeux des responsables des pouvoirs publics.

Ainsi, notre étude a pour souci de vouloir évaluer le processus de la participation de communauté de district sud aux activités de SPP en fin de vouloir aider ces communautés à contribuer efficacement à l'amélioration de système de santé dans le district sud avec comme intérêt scientifique de constituer un terme de référence pour les autres chercheurs qui auront le souci d'approfondir le sujet relatif à cette étude.

En tant que membre de cette population nous sommes autant concernés par les problèmes de santé qui se posent à notre pays.

5. OBJECTIFS DU TRAVAIL

L'objectif global est d'évaluer l'implication de la communauté aux activités de soins de santé primaires à haut impacts telles que la vaccination, la surveillance épidémiologique, la santé de la reproduction et la planification familiale, lutte contre Paludisme, Tuberculose et VIH, aménagement de conditions d'eau, hygiène et assainissement ainsi que la PCIME en fin de contribuer à l'atteinte des objectifs mondiaux de millénaires.

Les objectifs spécifiques sont tels que :

1 identifier les expériences de participation efficaces de la communauté dans le DSS

1 déterminer les facteurs favorisants (de succès) et les barrières (facteurs échecs) à l'implication de la communauté dans l'ensemble des activités de SSP.

1 identifier les mécanismes pour une réplication des expériences positives dans d'autres ZS de la province du Sud Kivu en particulier et au niveau pays en général

1 déterminer les degrés d'implication de la communauté (RECO) dans le processus de la réalisation des activités communautaire en faveur de la santé.

6. MATERIEL ET METHODES

a) Type d'étude

Pour nous permettre d'atteindre les objectifs assignés, Nous aurons à mener une étude descriptive transversale

24

b) Echantillonnage

La population totale de notre milieu d'étude est de 316989 habitants sur les 724682 habitants que compte ces ZS soit 43,7% de population ont la probabilité d'être enquêtée (pour les 31 AS), en considérant la taille moyenne de ménage telle qu'admis par l'OMS (7 personnes par ménage) soit 45280 ménages repartis dans 31 AS.

Nos cibles d'étude sont les responsables de Ménages, les responsables des structures de santé de base et les représentants de communautés ciblées dont les présidents de CODESA.

Le type de l'échantiion à utiliser ici est l'échantillonnage aléatoire simple sur base d'une liste disponible.

Choix des zones de santé : Nous avons décidé d'enquêter dans la partie Sud de la province de Sud Kivu, précisément dans le DSS, parce qu'il est, en majorité, habités par les populations homogènes avec les mêmes caractéristiques socio économiques.

Les zones de santé ci-après : Lemera, Nundu, Ruzizi & Uvira ont été retenues après un tirage aléatoire sur les 9 zones de santé que comprend le DSS (Fizi, Itombwe, Minembwe, Kimbi-Lulenge, HPU/Bijombo, Lemera, Nundu, Ruzizi & Uvira) ; Ce tirage aléatoire se faisait dans une boite avec des bouts de papier portant le nom de l'objet à sélectionner comme les boules dans une urne in discernement au touché.

Choix de l'aire de santé(AS) : Sur base de la liste obtenue dans ces 4 zones de santé, on a tiré au hasard 7 à 8 AS dans chacune au vu de contraintes de temps et celle de l'exhaustivité de la population à enquêter. Dans le cadre du présent travail le premier tirage a consisté à tirer les Zones de santé, le second a porté sur le choix des aires de santé par Zone puis au troisième degré nous avons fait le chois des cibles

Tableau N° 1 : répartition des aires santé enquêtées par ZS

Zone de santé

Nombre d'AS

AS Enquêtées

Pourcentage

Lemera

24

8

33,3

Nundu

21

8

38,1

Ruzizi

16

7

43,7

Uvira

21

8

39,1

Total

82

31

37,8

Commentaire : Dans l'ensemble 37,8% d'AS seront enquêtées ce qui représente un échantillonnage acceptable et correspond par ce fait même à un échantillon susceptible d'être abordé par la loi de grand nombre pour analyser, interpréter et tirer la conclusion sur l'objet de l'étude.

Toute fois, les AS visitées par ZS sont : à Lemera (Katogota, Luvungi I, Bwegera, Ndolera, Kibungu, Narunanga, Lemera & Katala ) et couvrent 56142 habitants sur 139169 habitant que couvre la zone de santé soit 40,3%, à Nundu (Lweba, Mukolwe, Kaboke, Mboko, Kabumbe, Ake, Swima & Iamba,) et couvrent 93252 habitants sur 192658 habitant soit 47,8% ; Ruzizi (Luberizi, Nazareno, Sange Etat, Ndunda, Runingu, Kagando & Hongero) et couvrent 64731 habitants sur 142188 habitant soit 45,5 % et Uvira (Kilomoni, Kiyaya, Kasenga Etat, Mitumba, Saint Paul, Kabindula, Kalundu Etat & Kabimba) et couvrent 102864 habitants sur 250667 habitant soit 41,03% de la population totale.

La Taille de l'échantiion : la population de ménage étant exhaustive, pour nous imprégner
du cadre de cette étude nous partirons par un taux de sondage de 10 pour mille (10/1000) sachant

n

que le Taux de sondage t est donné par t = avec n la taille de l'échantillon et N celui de la

N

population ce qui suppose que la taille d'échantillon n = txN dans le cas qui nous concerne nous

10

avons donc la taille d'échantillon n telle que n = x45284 452,8 453

= ménages

1000

Partant de nos cibles d'étude, nous avons répartis comme suit notre échantillon Tableau N° 2 : répartition des Echantillons selon les cibles d'étude

Cibles

effectifs

Pourcentage

Responsable de FOSA

31

6,8

Représentant de CODESA

31

6,8

Responsable de Ménages

391

86,4

Total

453

100

Commentaire : il ressort de ce tableau que plus les responsables de ménages seront interviewés que les autres cibles, ceci se justifie par le fait que c'est la communauté bénéficiaire qui peut donner la bonne appréciation de la particom dans l'AS.

c)

26

Méthodologie de recherche

En fin d'atteindre les résultats attendus, différentes méthodes ont été utilisées à savoir

1' La méthode statique : nous a permis d'analyser et d'interpréter les différentes données et à comparer les résultats en vue d'établir si ceux-ci différent significativement

1' La méthode comparative : nous a permis de comparer les résultats obtenus par zones de santé d'étude mais aussi par rapport aux différentes études menées par d'autres chercheurs.

d) Technique de collecte des données

En fin de finaliser notre étude, deux techniques de collecte de données ont été admises

1' La technique documentaire : par l'analyse des documents réglementaires de processus de mise en place de RECO ou les organes de structures communautaires disponibles au niveau du Ministère de SP et des différentes ONG et agences de nations unies ainsi que les différents rapports sur les expériences vécues des outres mers ou du niveau local.

1' La technique d'enquête par questionnaire : cette technique nous a permis à travers un guide d'entretien d'interviewer nos cibles et collecter ainsi les données nécessaires pour notre travail.

e) Plan de collectes de données

Moyennant un guide d'entretien, les enquêteurs ont déployés sur terrains pour collecter les informations nécessaires, au premier plan chez les responsables de ménages afin d'éviter les influences de résultats par les agents de santés, suivi des enquêtes auprès de CODESA et terminer par les responsables de FOSA.

f) Outils de collecte et de traitement de données

L'outil utilisé pour la collecte d'information est le guide d'entretien (fiche d'enquête) et dont tous les résultats ont été collectés, analysé et traité dans le logiciel EPI info qui nous a facilité les calculs statistiques et le Word pour le traitement de textes .

7. DELIMITATION DU SUJET

Les comités de santé, les responsable des centres de santé ainsi que les chefs de ménages dans les AS ciblées de zones de Lemera, Nundu, Ruzizi et Uvira dans le district sanitaire du Sud en province de Sud Kivu, République démocratique du Congo sont les groupes cibles de notre étude.

Nos investigations couvrent une période de Huit mois allant du 05 Novembre 2011 jusqu'au 05 juin 2012.

8.

SUBDIVISION DE TRAVAIL

D'emblée, le travail est globalement constitué de trois grands chapitres dont les généralités sur la particom, la présentation de milieu d'étude et la présentation de résultats.

Mais signalons qu'une introduction générale qui aborde les objectifs, les méthodologies ainsi que la problématique de notre étude est au début de ce travail et à la fin une conclusion et des suggestions ont été données en rapport avec les résultats obtenus sur les terrains.

Signalons également qu'à la fin de ce travail un projet est proposé en guise de solution au problème de particom dans tout le DSS.

9. DIFFICULTES RENCONTREES

Comme toute oeuvre humaine, nous avons connu des difficultés non moins négligeables telles que :

1 Le temps matériel de discussion profonde avec le directeur n'a pas été facile de gérer du faite que nous habitons à distances.

1 Il n'a pas été facile de collecter les données chez nos cibles d'étude car par endroit certains sous attend qu'il faut de l'argent par ailleurs d'autres pensaient aux enregistrements pour les donations humanitaires (semences, kit NFI, aliments,...) après interview

1 Le coût financier suffisamment élevé car inclus les frais de transports, les recherches sur l'internet, multiplication des outils et beaucoup d'autres.

1 Analyse de données n'a pas été facile car nous n'avons pas eu accès au logiciel SPSS qui allait nous facilité la tâche.

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"Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit."   La Rochefoucault