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Commerce et investissements étrangers directs (IED) - l'intérêt des pays en développement dans un cadre multilatéral des investissements étrangers negocié à  l'OMC


par Daniel Dantas
Université Paris I Sorbonne - DEA Droit International 2005
  

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Pourquoi le TRIMs est consideré comme étant un essait de libéraliser les investissements internationaux ?

L'accord TRIMs (ou MIC comme il est connu par sa traduction française), de la manière comme il est réglementé à l'heure actuelle, ne permettre pas une participation incisive, pénétrante de l'État d'accueil concernante à la régulation des investissements étrangers : une plus vaste liberté d'applications des mesures TRIMs, comme étant une manière de possibiliter un développement plus équilibre de son industrie et, conséquemment, son économie, est impossibilité par les propres dispositions de l'accord.

L'adaptation des préceptes consacrés au sein de l'Accord Général sur les Tarifs et le Commerce - le GATT -, cas du principe du traitement national et aussi de l'interdition à des mesures quantitatives, ne fait que contribuer pour augmenter les effets néfastes du phénomène de la globalisation : le traitement égal appliqué à des inégales. On observe aussi un genre de darwinisme commercial et social, où les intérêts de ceux qui sont les plus forts - naturellement, les pays développés - surpassent les nécessités de ceux qui sont les plus faibles - clairement, les pays en développement.

En vertu de ces faits, c'est nécessaire d'aborder, de façon préalable, deux aspects différents. Premièrement, au besoin des pays en développement de pouvoir réguler ou même intervenir aux investissements étrangers - et, parmi ces investissements, les plus importants sont les investissements internationaux directs, car ils sont l'un des facteurs favorisants du développement et de la croissance de ces pays - se sont oposées las mesures TRIMs, tout en leur interdisant d'adopter des mesures et de décréter des bornes regulatoires relatifs aux investissements sous l'argumentation que celles-là auriont le pouvoir de nuisir le commerce mondial. Mais est-ce qu'il serait vraiment dotée d'une cohérence inopposable, en faveur de la libéralisation du commerce mondial et d'une globalisation déjà présente, condamner les pays en développement a une croissance et une évolution - tout en considérnat que, même ayant des obstacles considérables, ils réusiraient a achever une croissance et une évolution ! - déséquilibrée et déjà trop tardée ?

Ensuite, un accord qu'ait comme facteur générateur le développement de tous les pays qui l'ont signé et ratifié et qui fomente la croissance mondiale par le biais de la réglementation du commerce international doit permettre un étalon minimale de discrimination de la partie des pays en développement ( les dérogations prévues n'étant pas suffisantes ) : le traitement inégal des inégales doit être admit, à la recherche de s'aboutir un modèle globale de développement et croissance juste et équilibrée.

Le TRIMs a ouvert le chemin pour une libéralisation dotée de protéction des investissements pour des investisseurs étrangers : telles mesures d'investissement qui touchent le commerce permettent à des entreprises multinationales un « pouvoir illimité » pour proumovoir l'investissement n'importe où et aussi rendant plus faible le droit gouvernamental souverain d'établir des régulations par rapport aux investissemnts internationaux. En limitant l'intervention de l'État importateur d'investissement, se limite aussi sa capacité d'utiliser et de canaliser l'entrée de ces mêmes investissements étrangers vers le développement interne.

Pourtant, grace à l'experience du TRIMs, c'est possible d'inférer qu'un posible, voire inévitable, accord multilatéral sur les investissements doit prendre en compte les intérêts et nécesités des pays en développement, de façon a ne pas permettre la vérification d'un accord philosophiquement unilatéral, dont juste les investisseurs étrangers - normalement ceux d'origine des pays développés, exportateurs de capital - ont les intérêts pris en compte. Néanmoins, ces sujets seront examinés de façon plus précise dans les prochaines pages, où l'importance sociale, politique, économique et même environnementale des investissements internationaux, et ici encore une fois, surtout les investissements internationaux directs, será analysé, tout en faisant une attention spéciale à l'importance de ceux-ci pour des pays en développement et à la nécessité d'une régulamentation internationale sur la matière qui prenne en compte les intérêts de ces derniers.

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