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sens et portee des donations au clerge traditionnel bamileke au regard des sources egypto nubiennes

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par Jules Bernard Gankem
Universite de Yaounde 1 - DEA en histoire 2006
  

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C'est humain et tout à fait compréhensible que certains d'entre nous, fascinés par la splendeur éblouissante des uns, et honteux de leur propre appartenance à la zone d'obscurité et d'impuissance qui demeure le lot des autres, recourent au refoulement par la négation même des réalités ethniques, puis à l'identification à autrui, par l'appropriation de sa pensée réputée unique et universelle2(*)1

Cet essai de compréhension ne signifie pas adhésion à cette position. C'est pour cela qu'il condamne quelques lignes plus tard cette attitude, y dénonçant précisément la précipitation, l'amalgame paresseux, la schématisation simpliste, la superficialité, l'esprit partisan et chez les Africains, l'extraversion apologétique, c'est à dire le désir obsédant de prouver à l'autre idéalisé que tout le monde ne fait pas de la surenchère nègre2(*)2. Le prêtre Jésuite voit ici en cette attitude et à juste titre un exhibitionnisme d'une prétention au magistère philosophique ; en référence à une norme utopique, prétention assortie ou non d'indéfectibilité présumée vis à vis de la vérité2(*)3 .

Cette vérité est que ces Négro- Africains ou Européens qui se flattent de tisser la pure soie de la philosophie universelle supra ethnique2(*)4, font preuve d'ingratitude vis à vis de Tempels à qui ils doivent leur éveil philosophique car nombre de ces penseurs en Afrique se définissent en fonction de lui2(*)5 car l'ayant élevé à la position enviable de philosophe critiqué. Cherchant l'origine d'une telle attitude vis à vis de l'Afrique, le Père Meinrad Hebga remarque dans un autre article2(*)6 que c'est faute d'avoir pris le soin de replacer le discours égyptien antique dans son contexte culturel, dans son schéma pluriel du composé humain que des traducteurs, philosophes, égyptologues, idéologues occidentaux se sont mépris sur la portée du discours égyptien. A titre d'illustration, il cite Hegel qui écrit :

nous sommes surpris de voir, à côté de la stupidité africaine une intelligence qui réfléchit, des organisations parfaitement judicieuses de toutes les institutions et les oeuvres les plus étonnantes de l'art ...De toute part, l'esprit égyptien s'est révélé comme enclos dans des caractères particuliers, comme ancré en ceux -ci en quelque sorte bestialement, mais aussi s'y mouvant dans une agitation sans fin 2(*)7

Il se dégage sans ambages de cet extrait de Hegel  un scepticisme de principe et une hostilité arrogante d'un certain courant eurocentriste plus imbu d'idéologie que de science ou encore moins de philosophie au sens Egypto-africain de sagesse 2(*)8.

Il ressort de ces analyses que la négation d'une philosophie africaine impliquait donc la négation de toutes ses institutions2(*)9 indigènes et même traditionnelles : négation de son écriture, de son culte, de sa pensée, de sa science, de son clergé... De nos jours, avec l'évolution de la science historique, il devient évident que ces négations étaient le fait d'une mauvaise interprétation des sources, ceci motivé par « un scepticisme de principe et une hostilité arrogante d'un certain courant eurocentriste plus imbu d'idéologie que de science ou encore moins de philosophie »3(*)0 vis à vis de l'Afrique, aire géographique indiscutable de la plus ancienne civilisation attestée du monde, dont la philosophie, la science et la culture sont encore d'actualité et « dont la modernité n'est pas de moindre des traits saillants».

Aussi, la vérité des sources atteste à ne point douter l'existence d'une philosophie donc d'une pensée africaine, d'une science, d'un clergé égypto-africain aux dénominations et attributions semblables.

II- Dénominations et attributions communes des membres du clergé chez les Egyptiens anciens et chez les Bamiléké de l'Ouest cameroun.

Du latin ecclés de clericatus, le clergé désigne de nos jours l'ensemble des ecclésiastiques d'une Eglise, d'un pays, d'une ville . Les prêtres d'une religion constituent les membres du clergé de cette religion. Donc, un prêtre est un ministre du culte, un homme exerçant des fonctions religieuses dans une société quelconque. De ce fait, ces définitions n'ont pas limité cette notion de clergé ni dans le temps, ni dans l'espace. Aussi la recherche de l'existence d'un clergé dans l'Egypte ancienne n'est pas une chimère d'autant plus que les sources directes egypto africaines notamment écrites, archéologiques, artistiques, iconographiques, orales en attestent l'existence. Ceci se vérifie à travers les dénominations et attributions communes des prêtres égypto africains. Il convient ici de préciser avec Christian Jacques la notion de prêtre en Egypte africaine. En effet, un prêtre en Egypte est essentiellement un pur qui pratique les rites et un serviteur qui s'occupe du bien-être des divinités. Les prêtres en Egypte ne sont ni des prédicateurs, ni des missionnaires, ils n'ont personne à convertir. Ce sont les spécialistes du divin qui travaillent dans les laboratoires géants, les temples où l'on manipule l'énergie spirituelle la plus fine, la plus délicate et la plus efficace qui soit. ces hommes sont chargés de maintenir l'équilibre de la création et d'assurer la transmission de la vie contre l'ineptie et le chaos qui menacent sans cesse notre monde. En réalité, il n'y a qu'un seul prêtre en Egypte, le Pharaon lui-même. Il est partout représenté sur les murs des temples accomplissant les actes cultuels. On estimait que son image sortait magiquement de ses représentations et entrait momentanément dans le corps d'un prêtre de chair chargé d'agir à sa place et en son nom49(*). De ce fait, nous devons surtout nous garder en nous abusant sur le terme de prêtre, de les considérer comme les dépositaires d'une vérité qui ferait d'eux une secte à part, vivant en marge de la société et ne s'y risquant que pour entraîner des foules, par des sermons passionnés à une vie morale plus riche ou plus active... Les prêtres égyptiens ont un rôle très précis à jouer, comme substitut du roi, seul officiant en titre : entretenir l'intégrité de la présence divine sur terre, dans le sanctuaire des temples où elle a consenti à s'établir, et c'est tout ; leur action contribue pour sa part au rôle théologique essentiel de la monarchie pharaonique : maintenir l'univers sous la forme où les dieux l'ont créé ; c'est une oeuvre de spécialiste, une besogne de technicien. Une fois accomplis, les actes matériels nécessaires pour obtenir ce résultat, ce que les prêtres peuvent penser ou faire est à peu près sans importance- au moins dans la perspective rigoureuse de l'Etat ; ils n'ont rien des prophètes hébreux, rien n'ont plus des prêtres chrétiens. Ce sont les hommes semblables aux autres ne bénéficiant d'aucun privilège d'origine divine, n'ayant ni à convaincre les foules, ni à convertir les gentils ; « fonctionnaires » en quelque sorte, ils ont délégation du roi pour accomplir à sa place certains rites matériels nécessaires au bien général. La religion personnelle du peuple ne leur doit rien, et s'ils peuvent, parfois, être eux-mêmes de riches penseurs ou de saints hommes, c'est par une conséquence de leurs tendances individuelles, et non par une suite obligatoire de leur activité professionnelle50(*).

1- Dénominations et attributions des prêtres Egyptiens

En Egypte ancienne, la fonction cléricale rassemblait une multitude de prêtres aux rôles variés mais aux objectifs communs notamment celui de mener l'homme dans le royaume de l'éternité. Aussi distinguait-on le Pharaon un prêtre roi, les prêtres serviteurs du Dieu, les prêtres funéraires Sem , les prêtres lecteurs, le bas clergé constitué des prêtres dits purifiés oueb, des prêtres pastophores, les prêtres sacrificateurs, et des prêtres «interprètes des songes», enfin les prêtres dits spécialistes notamment les prêtres stolistes, les prêtres hiérogrammates, les prêtres horaires ou horologues, les prêtres horoscopes, les prêtres chantres et musiciennes, sans oublier les auxiliaires et les hôtes occasionnels du corps sacerdotal..

1.1. Le Pharaon, un prêtre roi

Dans la croyance populaire égyptienne, le Pharaon était considéré comme étant le représentant terrestre du Dieu Suprême. Il était donc grand prêtre du Dieu Suprême. Il était considéré comme étant le fils des dieux et leur successeur en qualité de roi de l' Egypte, et il leur faisait des sacrifices parce qu'ils sont ses ancêtres, de même que tout particulier nourrit les esprits de ses aïeux51(*).

1.2. Les prêtres serviteurs du dieu ou hm.w.ntr.

Traduits non sans quelques abus par prophètes par les Grecs, leur nombre variait en fonction de leur sanctuaire. On comptait quatre classes de serviteurs possédant un numéro hiérarchique et une cinquième de simples serviteurs non encore intégrés, dans les grades supérieurs.

Le grand Prêtre était le premier prophète52(*) du dieu et sa puissance était liée à celle du dieu qu'il servait. Son titre correspondait quelque fois à la fonction précise qu'il assurait, primitivement dans le culte de son dieu. C'est le roi qui désignait le grand prêtre et sa nomination était confirmée par un Oracle du dieu, politiquement et divinement intronisé ; le nouveau pontife recevait alors deux anneaux d'or et une canne symbolique tandis que le roi prononçait la phase traditionnelle :

«Te voici grand prêtre du dieu X : ses trésors et ses greniers sont sous ton sceau, et tu es le chef de son temple...»53(*) Ce premier prophète était quelque fois assisté par le second prophète notamment lors de son absence du temple.

Le second prophète avait en charge la surveillance des ateliers et des champs, le contrôle des tributs étrangers livrés au dieu. A son service, il y avait une multitude de fonctionnaires, de scribes, qui préparaient les documents administratifs et assuraient la bonne marche des services placés sous son contrôle.

1.3. Les prêtres funéraires dits Sem

Les prêtres dits Sem étaient des hommes exerçant une prêtrise en rapport avec le funéraire. Le prêtre Sem avait pour tâche, en récitant le rituel approprié, de rendre l'usage des sens à la momie en lui «ouvrant la bouche »54(*), phase essentielle de l'opération par la quelle le défunt allait pouvoir gagner l'au-delà en pleine possession de ses capacités à survivre. En plus de la lecture des chapitres rituels, ils s'acquittaient sur la momie ou la statue du mort de tous les rites propitiatoires ou régénérateurs qui devaient transformer la pauvre carcasse humaine, dûment desséchée et salée par les embaumeurs, en un nouveau corps rajeuni, doté de toutes les facultés terrestres, et apte à faire bonne figure dans les paradis de l'au-delà.

1.4. Les prêtres lecteurs, kheriheb, hr-kb

Les prêtres lecteurs sont très proches des prêtres hiérogrammates par la médecine qu'ils pratiquent. Deux plumes ornent leur coiffure. Dans les cérémonies funéraires, ils accomplissent les cérémonies bénéfiques aux esprits bienheureux. Pour le peuple égyptien ancien, c'était le type même du magicien populaire ; héros des romans et des fables qu'on se répétait le soir à la veillée55(*).

1.5. Le bas clergé constitué des prêtres dits purifiés, ouêb, des prêtres pastophores, des prêtres sacrificateurs, et des prêtres «interprètes des songes»

1.5.1. Les prêtres dits «purifiés», Ouêb

Les purifiés étaient des clercs minorés parce qu'ils n'étaient pas des membres permanents du clergé. Dans les temples ils avaient diverses fonctions : porter la barque sacrée, arroser le temple, surveiller les peintres, les dessinateurs, les scribes, les artisans. Dans les temples importants, ils étaient organisés de manière hiérarchique :  «purifiés en chef », ou « premiers purifiés »56(*). Divisés en équipes qui se succédaient par roulement, ils n'étaient en service que pendant un mois puis attendaient que leur tour revienne pour reprendre leur service.

1.5.2. Les prêtres pastophores

Les prêtres pastophores eux aussi faisaient partie du bas clergé et étaient surtout chargés de porter les objets sacrés lors des processions57(*).

1.5.3. Les prêtres sacrificateurs

Les prêtres sacrificateurs étaient chargés d'égorger les bêtes consacrées à l'offrande. De ce fait, ils connaissaient certains principes de symbolique religieuse car les animaux offerts à la divinité étaient sélectionnés et tués selon certaines normes58(*).

1.5.4. Les prêtres interprètes des songes

Les prêtres interprètes des songes étaient appelés par les Grecs Onirocrite car c'étaient des scribes maîtrisant l'interprétation des rêves. Ils interprétaient les rêves des fidèles ayant passé la nuit dans le temple59(*).

1.6. Les spécialistes

Ce sont des techniciens couramment rangés au nombre des prêtres supérieurs ou rang des subalternes ; sans doute, furent-ils tantôt parmi les uns, parmi les autres et parfois étrangers à ces deux catégories. En fait, c'est plus le caractère spécialisé de leur fonction qui nous intéresse que l'appréciation morale qui ferait d'eux des hauts pontifes ou des auxiliaires dédaignés. De ce fait, les document grecs nous présentent tour à tour des prêtres stolistes, hiérogrammates, horaires ou horologues, horoscopes, chantres et musiciennes.

1.6.1. Les prêtres stolistes

Les prêtres stolistes étaient chargés de l'entretien de la divinité. Ils assuraient de ce fait la toilette, l'habillement et la parure des statues divines ; de ce fait ils conservaient les bijoux, vêtements et objets de culte. D'après les documents de la Basse Epoque ( 1075 -715 BC.), ce sont les gens préposés à la toilette du dieu, qui pénètrent dans le saint des saints pour orner les dieux de leurs étoffes60(*).

1.6.2. Les prêtres hiérogrammates

Les prêtres hiérogrammates sont des savants et des intellectuels de la Maison de Vie. Du fait de leur vaste culture, ils représentent officiellement la science dans les temples61(*). Ils sont des médecins géographes, astronomes, climatologues...

1.6.3. Les prêtres - horaires ou horologues.

Les horologues étaient chargés d'établir l'heure et de préciser de jour et de nuit, le moment où chaque acte du culte devait commencer62(*).

1.6.4. Les prêtres horoscopes.

Les prêtres horoscopes devaient connaître le calendrier mythologique et expliquer à qui le désirait quels étaient les jours fastes et néfastes de l'année égyptienne63(*).

1.6.5. Les prêtres chantres et musiciennes.

Le culte égyptien ne comportait pas seulement des parties récitées, en divers moment, de l'office intervenaient des morceaux modulés, ou même chantés avec accompagnement de harpe. Les stèles de donation représentent d'assez pauvres bougres, propriétaires d'un petit lopin de terre et amoureux de belle musique de la leur tout au moins, qui se donnent corps et biens à un temple ; en échange de leurs talents artistiques, le clergé devait leur assurer la sécurité et le vivre ; tout laisse à penser que les exactions du fisc et les confiscations militaires ne leur auraient pas garanti les mêmes privilèges dans la vie civile64(*). Les musiciennes existent dans tous les temples. Sous le Nouvel Empire, c'est à peine si l'on rencontre une dame qui ne fasse pas à ce titre partie du personnel d'un temple. Elles formaient le harem du dieu et jouaient le même rôle que les belles chanteuses dont le chant et la musique divertissaient un prince terrestre. La reine elle-même ou une princesse coiffait ces musiciennes65(*).

1.7. Les Auxiliaires et les hôtes occasionnels du corps sacerdotal

Ce sont les laïcs auxiliaires dont l'activité permettait le fonctionnement matériel des temples, sans qu'ils fissent à proprement parler partie du monde sacerdotal. C'étaient des concierges et des bedeaux66(*), gardiens des édifices sacrés, ils constituaient le petit personnel des ateliers, boulangers, bouchers, fleuristes, les porteurs d'offrande, l'homme au balai qui effaçait la trace des pas sur le sable des chapelles, les artistes, les architechtes, graveurs peintres sculpteurs chargés de la répartition, de la construction, de la décoration des édifices religieux67(*).

Les hôtes étaient certains reclus volontaires chargés de l'entretien des sanctuaires. D'autres étaient des malades venant chercher le soulagement ou la recette de leur guérison par voie de songes. Une autre catégorie d'hôtes étonnait par leur apparence : demi-nus, vêtus de haillon, beaucoup de cheveux, chargés de chaînes... Ils expliquaient aux étrangers du temple, aux visiteurs, touristes ou pèlerins les légendes divines, faisant office de drogmans. Aussi souvent, ils vaticinaient, réclamaient des orâcles : après être entrés en transe et tiraient quelque bénéfice de la folie divine dont ils étaient possédés. En fait, il se trouve que le dieu trouvait parfois quelque moyen encore de s'exprimer, il pénétrait dans le corps d'un homme ou d'un enfant, le faisant entrer en transe et, par son intermédiaire, dictait sa volonté... les enfants réfugiés dans les temples, servaient de médium pour transmettre la parole du dieu68(*).

* 21 H.P., Meinrad, « Eloge de l'«« ethnophilosophie »  » , Revue Présence Africaine, n° 123-3e Trimestre 1982, p.27.

* 22Ibid. p.28.

* 23 Ibid.

* 24 Ibid. p. 24.

* 25 Ibid., p.33.

* 26 H. Meinrad, « Egypte pharaonique et peuples Africains : trois points de rapprochement », Relecture critique des origines de la philosophie et ses enjeux pour l'Afrique, Actes du colloque international de Yaoundé du 01 au 05 Dec. 2003, pp. 259-280.

* 27 F. Hegel, Leçon sur la philosophie de l'histoire, trad. Française, Vrin, 1979, pp. 156-265.

* 28 P. Oum Ndigi, « Egyptologie, langues et philosophie africaines », Relecture critique des origines de la philosophie et ses enjeux pour l'Afrique, Actes du colloque international de Yaoundé du 01 au 05 Dec 2003, pp.39-52.

* 29F. Hegel, leçon sur la,1979, pp. 156-265.

* 30 P. Oum Ndigi, « Egyptologie, langues et », 2003, pp. 39-52.

* 49 J. Christian, Les grands monuments de l'Egypte ancienne

* 50 S. Sauneron, Les prêtres de l'ancienne Egypte, Paris, Seuil, 1961, pp.32-33.

* 51 A. Erman/H. Ranke, La civilisation égyptienne, Paris, Payot, 1980, pp.348-349.

* 52 Un prophète est une personne qui annonce les desseins divins et leurs manifestations futures.

* 53 S. Sauneron, Les prêtres de l'ancienne, 1961, pp.59-60.

* 54 L. Gahlin, L'Egypte, Dieux, mythes et religion, Paris, EDDL, 2001, p.113.

* 55 S. Sauneron, Les prêtres de, 1961, p.61.

* 56 S. Sauneron, Les prêtres, 1961, pp.65-67.

* 57 Ibid., p.70.

* 58 Ibid.

* 59 Ibid.

* 60 Ibid., p.61.

* 61 Ibid.

* 62 Ibid., p.64.

* 63 Ibid.

* 64 A. Erman/H. Ranke, La civilisation égyptienne, Paris, Payot, 1980, p.376.

* 65 S. Sauneron, Les prêtres, 1961, pp.65-67.

* 66 Un bedeau est un employé laïque préposé au service matériel et au bon ordre dans une église.

* 67 S. Sauneron, Les prêtres, 1961, p.71.

* 68 Ibid., p.98.

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"Il existe une chose plus puissante que toutes les armées du monde, c'est une idée dont l'heure est venue"   Victor Hugo