Prise de position vis-à-vis du Projet
Nô-Life
Pour comprendre sa position vis-à-vis du Projet
Nô-Life, il faut d'abord tenir compte de la différence de son mode
d'actions par rapport à la municipalité ou à la
coopérative. Le BDPA a peu d'interaction, peu d'acceptation de ce qui
est imprévu et ainsi peu de « bricolage » dans ses
idées et actions. C'est pourquoi il n'a pas été
concerné par l'histoire de la construction du Projet Nô-Life qui
était marquée par une série de bricolages d'idées
et d'échanges intersectoriels entre différents agents locaux
concernés. En fait, il n'est impliqué dans le Projet que dans la
mesure où le Projet touche ses fonctions administratives (lois, relais
avec le département et l'Etat etc).
Après la fin de la procédure pour le programme
de la Zone spéciale, dans la conduite du Projet Nô-Life, il n'a
que des rôles minimums à jouer sans implication directe et
régulière. Ainsi Monsieur M a défini sa position
vis-à-vis du Centre Nô-Life comme « soutien en
arrière » qui peut venir en aide en cas de
problèmes.
Autrement, la relation de coopération entre le BDPA et
le BPA de la Municipalité de Toyota nous paraît favorable, vu
qu'ils partagent le même principe de représentations et d'actions
qui obéit à celui de l'intérêt public.
Egalement, sa vision de l'agriculture de type Ikigai ou de la
finalité du Projet Nô-Life était d'abord orientée
vers la dimension sociale plutôt qu'économique, ce qui rejoint la
position du BPA de la Municipalité de Toyota. (Sur ce sujet, il ne nous
a pas parlé non plus de la coopérative agricole.)
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