A. Le salaire individuel :
Il est déterminé dans le contrat individuel. Ce
salaire peut se présenter sous plusieurs aspects. Il peut être au
temps, à la pièce ou à la tâche.
a) Salaire au temps : est fixé par
unité de temps au travail.
· Avantages : - Facilite à
établir et à comprendre
- Favorable aux paresseux
· Inconvénients :
- L'ouvrier actif n'est pas mieux payé que le
paresseux,
- d'où influence néfaste sur la
productivité et nivellement par le bas, - d'où facteur de prix de
revient unitaire élevé,
- nécessité d'un personnel et matériel
abondants pour une production importante,
- nécessité d'une surveillance continuelle.
· Appréciation : ce système
appliqué seul tend à disparaitre à cause de ses
inconvénients.
b) Salaire à la pièce : est
fixé par unité de production.
· Avantage : le contre pied des
inconvénients précédents.
· Inconvénients :
- Source de fréquents conflits dans son
établissement et son application,
- Facteur de surmenage pour certains ouvriers,
- Risque de malfaçons (l'ouvrier recherchant plus la
quantité que la qualité de sa production).
· Appréciation : ce système est, en
principe, le plus équitable et il serait l'idéal sir le tarif
était toujours établi sérieusement et respecté...
ce qui n'est pas le cas.
c) Salaire à la tâche : est
fixé individuellement déterminée.
B. Les salaires collectifs : sont
déterminés dans les contrats collectifs pour une équipe
d'ouvriers qui se repartissent librement le salaire collectif.
a. Travail à l'entreprise : le
salaire collectif est convenu pour un travail déterminé (ex :
abattage d'arbre, terrassement, moisson), entre l'employeur et une
équipe qu'il constitue.
b. Commandite d'atelier : ici, l'équipe
recrute elle-même et se charge d'un travail déterminé
à prix forfaitaire,
c. Equipes autonomes : système
récent qui consiste à sectionner l'entreprise (quand
possibilité) en atelier autonome (exemple : dans une fabrication des
chaussures). Chaque atelier reçoit un salaire collectif
déterminé en fonction du travail à effectuer.
C. Les salaires à primes :
les primes peuvent être attribuées individuellement ou
collectivement. Les principales modalités de primes individuelles sont
:
a. Prime à la qualité du travail
: par exemple quand l'ouvrier décèle les défauts dans les
pièces qui lui sont remises,
b. Prime à la vente : par exemple
pour les vendeurs dans un grand magasin sous-forme d'un taux de pourcentage sur
le chiffre d'affaires qu'ils réalisent.
c. Prime à la production : quand on
dépasse un quantum déterminé.
Parmi les primes collectives ou primes d'entreprise, on
distingue
- Les primes de productivité : qui
intéressent le personnel à la productivité technique,
laquelle se mesure par l'amélioration du coût de production
comparé à un coût de production de référence.
Dans la mesure de cette amélioration, une prime est donc payée
quel que soit le résultat d'exploitation (et donc, même s'il est
déficitaire).
- Les primes de prospérité :
qui intéressent le personnel à la productivité
économique, laquelle se mesure par l'amélioration du
bénéfice
d'exploitation. Dans laquelle de cette amélioration,
une prime est payée quelle que soit la productivité technique
(donc, même si elle est en recul).
4. QUELQUES THEORIES SUR LE SALAIRE26
La première théorie sur les salaires est due
à Saint Thomas d'Aquin pour qui le juste salaire est celui qui permet
à son bénéficiaire d'avoir une vie conforme à sa
position sociale mais au XIXe siècle, la théorie classique fut
élaborée par Adam Smith et totalement développé par
David Ricardo. Pour cette théorie connue sous le nom de théorie
de substance : les salaires seraient fixés de manière à
permettre la survivance des travailleurs mais ne pourraient guère
s'éloigner de ce niveau.
Quant à Karl Max selon laquelle les entrepreneurs
accaparent un taux de plus value au détriment des salariés ne
laissant à ceux - ci qu'un salaire dit de substance, qui est une
variante des principes développés par Ricardo.
John Stuart Mill s'est efforcé, pour sa part
d'expliquer les salaires par la demande de travail. D'après cette
théorie, c'est l'accumulation antérieure de capitaux qui permet
le financement des salaires et, le cas échéant, leur
augmentation. Une baisse pour les autres. Cette approche s'est - elle aussi
révélée insuffisante, à partir du moment où
il a été démontré qu'aucune baisse de
rémunération ne peut relancer la consommation et donc la
production, qui permet à son tour de financer les salaires plus
élevés.
Une nouvelle tentative d'application a été faite
par l'économiste américain John Bates Clark. Selon lui, les
salaires tendent à s'établir au niveau où les employeurs
estiment profitable d'engager un nouveau travailleur. En effet, selon la loi de
la diminution des profits, la valeur de la contribution de chaque travailleur
supplémentaire à la production est censée
décroître. Il en résulte que la croissance de la main
d'oeuvre fait chuter les salaires.
John Maynard Keynes s'est farouchement oppose à cette
théorie qui ignore les effets de l'augmentation des salaires sur la
productivité et le pouvoir d'achat. Cette relation est selon cet auteur
essentielle et est la base de la doctrine selon laquelle une hausse des
salaires peut favoriser la consommation davantage que l'épargne. Si la
baisse du chômage permet une hausse des revenus, une consommation accrue
engendre une nouvelle demande de travail et ce, même si le niveau de
salaire est déjà élevé. Mais la plupart des
économistes se sont rangés à l'idée d'une hausse de
la
26 www.google/théoriede salaire selon
les auteurs/ tiré le 29/05/2010 à 14h33'
rémunération ne signifiait pas
nécessairement une chute des emplois. Elle peut en revanche l'inflation,
parce que les employeurs tendent à augmenter les prix pour compenser les
surcoûts salariaux. Pour éviter cette spirale inflationniste, les
hausses de salaire ne doivent pas dépasser les gains de
productivité.
Terminons en ces mots que la théorie des salaires
accorde désormais une attention accrue à la matière dont
ils s'établissent. Déjà les théoriciens
néoclassiques avaient mis en évidence l'inégalité
des rapports contractuels existant entre employeurs et employés pour
expliquer les phénomènes d'exploitation capitalistiques avant que
le courant marxiste ne fasse de cette question le point central de son
analyse.
Chapitre deuxième : METHODOLOGIE DU TRAVAIL
ET PRESENTATION DU CHAMP D'INVESTIGATION
II.1. METHODOLOGIE
II.1.1. Méthodes et
techniques27
La notion de la méthode en sciences sociales est une
ambigüité souvent dénoncée. La méthode n'est
pas une branche indispensable du savoir mais c'est un ensemble des
démarches que suit l'esprit pour démontrer la
vérité.
Dans le sens plus général du terme, la
méthode est l'ensemble des opérations intellectuelles par
lesquelles une discipline cherche à atteindre la vérité
qu'elle poursuit, la démontre et la vérifie. (Madeleine Grawit),
tandis que dans le sens restreint et de façon systématique,
Madeleine Grawit considère la méthode comme une conception
intellectuelle, coordonnant un ensemble d'opérations limitées en
général plusieurs. La méthode est avant tout une
réflexion : elle utilise et organise les techniques qui sont
concrètes, en fonction du but.
La méthode est le processus d'investigation que doit
suivre l'esprit pour accroitre ses connaissances, pour expliquer un
phénomène ou un fait. Pour la réalisation de ce travail,
les méthodes suivantes ont été à notre service :
La méthode de qualitative a intervenue par son
importance d'appréciation de la qualité de l'information
reçue. Elle attache beaucoup d'intérêts à
l'information et à l'observation. Elle permet la manipulation par le
chercheur de ce qu'il entend, écoute, voit et perçoit.
La méthode analytique s'est avérée
importante pour apprécier et analyser des données recueillies
auprès de nos enquêté.
Compte tenu de l'abstraction qu'est considérée
une méthode, la technique apparait comme un moyen palpable pour
effectuer à bien une recherche. Elle appuie les méthodes comme
étant outil pour la récolte des données.
Ainsi, ces techniques de questionnaire, d'interview et de
documentation se sont avérées dispensables à notre
recherche.
Cette dernière nous a été importante pour
enrichir le présent travail par des consultations de différents
documents relatifs à notre sujet de recherche.
La technique de questionnaire nous a aidé à
l'obtention des informations auprès de nos enquêtés par le
biais d'un questionnaire.
La technique d'interview nous a été importante
à ce sens qu'il fallait soumettre à nos sujets une interview afin
de rassembler les compléments d'informations.
II.1.2. Population et Echantillon
Lors d'une étude, la détermination de l'Univers
s'avère très radicale. En effet, la population est connue comme
étant l'ensemble des individus concernés pour l'étude.
Cela étant, cette population peut être finie ou
infinie. Une population est dite finie quand il est facile de la
dénombrer. Elle est finie lorsque les individus constituant cette
population sont facilement quantifiables. Notre population s'inscrit alors dans
le cadre de la population finie à ce sens que son effectif est
facilement quantifiable.
En effet, notre population rassemble tous les agents de la
SONAS/Beni dont 29 individus la constituent.
De ce fait, il est souvent rare d'interroger ou d'observer
tous les nombres de la population étudiée, excepté dans
certaines recherches.
Ainsi, partant de l'avis de DELIEGE D.R, nous nous penchons du
principe selon lequel les phénomènes sociaux ne sont pas
isolés mais qu'ils produisent avec une certaine fréquence et
qu'il suffit donc d'en étudier en certain pourcentage, lui - même
suffisamment représentatif pour avoir une idée de
l'ensemble28. Nous allons donc tirer un échantillon qui est
un relevé partiel de la masse ou de la population mère. La taille
de l'échantillon est donc délimitée par la formule
suivante :
D'où : n : Taille de l'échantillon N : Population
mère
e : Marge d'erreur estimée.
La marge d'erreur étant estimée à 5%, ainsi
la taille de notre échantillon
est :
28 DELIEGE D.R, Initiation à la recherche
scientifique, éd. U.C.L, Paris, 1981, p115
Pour des raisons de temps nous imparti, nous avons
été obligé de revoir l'échantillon.
Ainsi, notre échantillon révisé est
déterminé par la formule suivante :
La taille de notre échantillon est de 15 sujets qui
seront tirés d'une manière systématique. Comment
déterminer les 15 sujets ?
A cette question, nous procédons par la technique
appelée tirage systématique qui exige la détermination de
la base «u» et de la raison
«p» par la formule suivante :
p
D'où : p = la raison
N= la population mère n = l'échantillon
Ainsi, sur la liste de 29 agents, les personnes qui suivent sont
retenues :
1
|
3
|
5
|
7
|
9
|
11
|
13
|
15
|
17
|
19
|
21
|
23
|
25
|
27
|
29
|
II.2. PRESENTATION DU CHAMP D'INVESTIGATION
II.2.1. Dénomination
La Société Nationale d'Assurance (SONAS).
Dans cette dénomination, c'est le vocable «
Assurance » qui marque notre attention. Ce vocable marque la liaison avec
Police d'Assurance Garantie à l'Assuré, moyennant une prime, le
paiement d'une somme convenue en cas de réalisation d'un risque
terminé.
II.2.2. Historique
Les Italiens étaient le premier peuple qui exploitait
l'assurance à partir du XVe S après Jésus
Christ. Ils faisaient des expéditions maritimes en plaine mer à
destination de l'Europe occidentale. Le but de cette assurance était de
garantir l'accident de naufrage des bateaux contenant des marchandises.
C'est après 1908 que les compagnies britanniques,
Belge,... commencèrent à s'installer au Congo-Belge. Ces
compagnies prenaient à elles seules 80% de l'ensemble d'assurance sur le
marché mais il fut constaté malheureusement que les devises ainsi
produites étaient rapatriées dans les pays de ces compagnies
d'assurances sans produire au nôtre. Cela amenant les autorités du
pays à mettre fin au libéralisme en matière d'assurance en
créant la Société Nationale d'Assurances « SONAS
» en sigle.
La SONAS a vue le jour le 23 Novembre 1966 par l'ordonnance loi
no
66/622.
Jusqu' en 1990, la SONAS était centralisée. Ce
n'est qu'à partir de cette même année, avec le PDG KASEREKA
KASAI, a l'issue d'une longue mission effectuée en Europe, qu'il a
été décidé que chaque entité pouvait payer
localement ses sinistres suivant les fourchettes d'indemnisation. La SONAS/Beni
verra le jour le 4 Novembre 1994, considérant l'ampleur des
activités d'assurance en ville de Beni.
II.2.2. Situation
géographique
Le Bureau de la SONAS Agence de Beni est situé en
République Démocratique du Congo, province du Nord-Kivu, Ville de
Beni, Commune Beu, sur le Boulevard Nyamwisi, no 71.
II.2.3. Situation Juridique
La Société Nationale d'Assurance est une
société paraétatique ayant son siège social
à Kinshasa, faisant partie du ministère du portefeuille de
l'Etat. Elle a été créée par l'ordonnance loi
no 66/622 du Novembre 1966, pratiquement, elle vient de faire 43 ans
d'existence depuis sa création.
Chef d'Agence
II.2.4. Organigramme de l'Agence de
Bénia. Structure
Secrétariat
Service Adm & Finances
Chef d'Agence Adjoint
Service sinistre
Service
technico- commercial
Comptabilité
Budget
Caisse
Intendance
Auto
Transport
INC
ARD
VIE
Antenne
BULONGO
|
|
KYONDO
|
|
MANGINA
|
|
KASINDI
|
|
OICHA
|
b. Fonctionnement
1. Le Chef d'Agence
Il est responsable de l'entité, il supervise les
activités des sous - pools = Administratif et Financier, Sinistre et
Technico-commercial. Il est chargé de la conception, l'orientation et
l'inspiration des décisions à l'entité conformément
aux instructions de la Société. Il veille également
à la bonne marche de l'Agence.
2. Le Chef d'Agence Adjoint
Celui-ci coordonne les activités liées à
la gestion de la production et du
sinistre.
3. Le Chef du sous - pool
technico--commercial
Il contrôle ou supervise les services relatifs aux cinq
branches = l'automobile, l'assurance vie, l'assurance incendie, les ARD et le
transport.
4. Le Chef du sous - pool Administratif
Il contrôle les agents chargés de la
comptabilité, la caisse, le budget et
l'intendance.
5. Le Secrétariat
C'est un service qui sert la courroie de transmission servant de
relais entre la maison et l'extérieur entre le Directeur et les
agents.
Il s'occupe de :
- L'accueil des visiteurs
- La réception, l'expédition et l'enregistrement
des courriers
- Le classement général des courriers
- La dactylographie ou la saisie de toute correspondance
technique ou administrative
- La réception et l'expédition de la
communication
- La gestion des imprimés de valeur
- La gestion des documents d'usager des véhicules des
clients compliqués - La gestion du cachet sec
- La confection des comptes rendus des réunions de
service.
6. Le service de la comptabilité
Ce service s'occupe de l'enregistrement, de l'analyse, du
classement, de l'interprétation et de la synthèse des
données de la Société. Il s'occupe aussi des
différentes tâches et circuits comptables tels que :
- La caisse - recettes
- La caisse - dépense
- La comptabilité (opération des recettes et
dépenses)
· La caisse - recette : perçoit la prime d'assurance
en provenance des clients dans les différentes branches,
· La caisse - dépenses : paie toutes les
dépenses telles que : la facture des biens, le bon de sortie de caisse,
les quittances d'indemnités, les fiches de commission.
7. Le service de la caisse
Celui-ci garde les biens fournis par la maison. Le caissier doit
rendre compte au comptable en lui remettant les reçus et le montant
reçu.
8. Le Budget
Il consiste à faire des prévisions des recettes et
des dépenses de la Société. Il s'occupe de l'imputation et
de l'enregistrement budgétaire
9. L'intendance
L'intendance s'occupe de la gestion des biens meubles et
immeubles et la gestion de stock.
10. Le sous - pool sinistre
Le sous - pool sinistre s'occupe de paiement des sinistres
c'est-à-dire d'un événement malheureux pouvant entrainer
les dégâts matériels ou humains. Ce service gère le
dossier sinistre.
I.6. Ressources de la
SONAS/BéniLa SONAS exploite trois sortes des ressources
matérielles ou immobilières, financières et humaines.
I.7. Réalisations de la
SONAS/Beni
En ce qui concerne la réalisation, la SONAS a
déjà des bases solides malgré les difficultés
qu'elle traverse. Elle a déjà dix parcelles à Beni et deux
autres à Kasindi dans lesquelles elle propose construire les camps des
Agents. Bien que la SONAS/Beni soit encore récente, elle a
déjà un véhicule, des motos, des appareils de
communication, des ordinateurs, des photocopieuses, une maison en étage
en construction qui abritera les différents bureaux de l'Agence de
Beni.
Chapitre troisième : PRESENTATION,
ANALYSE ET INTERPRETATION DES DONNEES
Dans ce chapitre, nous allons tout d'abord présenter les
informations recueillies, ensuite les analyser et enfin les
interpréter.
Mais avant cela, pour rappel, notre sujet s'intitule :
«La rémunération, facteur de performance du personnel au
sein de la Société Nationale d'Assurances» SONAS/Beni.
L'entreprise est une organisation qui regroupe un ensemble
d'individus en vue d'atteindre des objectifs économiques et sociaux.
Elle va donc chercher à faire régner en son sein les relations
les plus efficaces.
Selon la logique de l'analyse au terme performance, celle-ci est
à mettre le résultat face à un effort.
Ainsi, existe - t - il donc deux sortes de performance notamment
la performance économique et la performance sociale.
La performance économique vérifie les
résultats d'objectifs face à un effort. Elle analyse au biais du
résultat obtenu par les postes du travail, dans un groupe, un service,
une unité entière. Il est exprimé par la richesse
créée, la valeur ajoutée produite, le supplément de
valeur donnée à l'unité, l'amélioration de
l'importance de l'environnement.
La performance sociale quant à elle vérifie le
niveau d'adhésion et de satisfaction.
La performance sociale de l'organisation fait
référence aux indices de la politique salariale sur l'attitude
des salariés vis-à-vis de l'organisation qui les emploie. Elle
peut être définie comme «l'intensité avec laquelle
chaque individu adhère et collabore au propos et aux moyens de
l'organisation» ou de façon globale comme «le niveau de
satisfaction atteint par les individus participant à la vie de
l'organisation». Les deux conceptions sont d'ailleurs
complémentaires, le niveau d'intégration d'un salarié dans
l'entreprise constitue l'élément déterminant de sa
satisfaction. L'amélioration de la performance sera définie
à travers l'accroissement de l'adhésion des salariés et
l'augmentation de leur niveau de satisfaction.
De ces deux sortes de performance que nous venons de citer
ci-haut, compte tenu de temps, nous nous focaliserons vers la performance
sociale.
Ainsi, pour aboutir à notre résultat de recherche,
nous allons analyser ce sujet à deux dimensions : le degré
d'adhésion et le degré de satisfaction du personnel
II.1. PRESENTATION DES DONNEES
A ce niveau, nous allons tous simplement présenter les
données sans aucune analyse ni interprétation.
Tableau N°02 : LE DEGRE D'ADHESION
N°
|
Dimension
|
Catégorie
|
Sous- catégorie
|
Fréquence
|
Pourcentage
|
01
|
DEGRE D'ADHESION
|
Intégration
|
Totale
|
14
|
93,3
|
Moyenne
|
1
|
6,7
|
Faible
|
0
|
0
|
TOTAL
|
15
|
100
|
Considération
|
Totale
|
12
|
80
|
Moyenne
|
2
|
13,3
|
Faible
|
1
|
6,7
|
TOTAL
|
15
|
100
|
Collaboration
|
Existe
|
12
|
80
|
N'existe pas
|
2
|
13,3
|
Neutre
|
1
|
6,7
|
TOTAL
|
15
|
100
|
Relations entre départements
|
Grande
|
14
|
93,3
|
Moyenne
|
1
|
6,7
|
Faible
|
0
|
0
|
TOTAL
|
15
|
100
|
46 Tableau N°03 : LE DEGRE DE SATISFACTION
N°
|
Dimension
|
Catégorie
|
Sous-catégorie
|
Fréquence
|
Pourcentage
|
02
|
DEGRE DE SATISFACTION
|
Rémunération
|
Totale
|
12
|
80
|
Moyenne
|
3
|
20
|
Faible
|
0
|
0
|
TOTAL
|
15
|
100
|
Gratification
|
Existe
|
12
|
80
|
N'existe pas
|
1
|
6,7
|
Neutre
|
2
|
13,3
|
TOTAL
|
15
|
100
|
Conflit
|
Existe
|
1
|
6,7
|
N'existe pas
|
13
|
86,7
|
Neutre
|
1
|
6,7
|
TOTAL
|
15
|
100
|
Juste salaire
|
Existe
|
1
|
6,7
|
N'existe pas
|
14
|
93,3
|
Neutre
|
0
|
0
|
TOTAL
|
15
|
100
|
Nature de travail
|
Satisfaisante
|
12
|
80
|
Non satisfaisante
|
1
|
6,7
|
Neutre
|
2
|
13,3
|
TOTAL
|
15
|
100
|
Responsabilité
|
Reconnue
|
13
|
86,7
|
Non reconnue
|
2
|
13,3
|
TOTAL
|
15
|
100
|
Conditions de travail
|
Bonnes
|
12
|
80
|
Mauvaises
|
0
|
0
|
Neutre
|
3
|
20
|
TOTAL
|
15
|
100
|
Relation entre personnel
|
Existe
|
13
|
86,7
|
N'existe pas
|
0
|
0
|
Neutre
|
2
|
13,3
|
TOTAL
|
15
|
100
|
|