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Comment réussir sa transmission/reprise de petite entreprise de façon pérenne ?

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par Jean-Louis Mourot
Université Catholique de Lille (Iéseg Lille) - Master  2009
  

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Section 2 : Les risques liés à la construction de la relation cédant/repreneur.

1) Les risques liés à la personnalité des acteurs de l'opération.

1.1 Le cédant, gardien du temple de l'information concernant "son" entreprise.

D'après la bibliographie consultée et les personnes rencontrées, nous avons pu constater que le cédant refuse, pour des raisons psychologiques, d'anticiper suffisamment tôt le passage de témoin. Il s'agit en effet de confier "son bébé" à une tierce personne, ce qu'il souhaite faire le plus tard possible. On peut parler d'un refus inconscient lié au paternalisme.

Le risque principal est de ne pas encore être prêt, du moins pas préparé, le moment venu, à céder "son" entreprise et/ou transmettre les responsabilités et les informations liées à son rôle de dirigeant. Dans ce cas, il émet des résistances à communiquer les informations, et peut rompre le processus de négociation au dernier moment sans raison valable, avec des conséquences néfastes concernant le temps et l'argent consacré à une cause perdue, ainsi qu'une dégradation de la relation avec le repreneur potentiel.

Dans d'autres situations, le dirigeant prend la décision de céder trop tard, lorsque son entreprise est en perte de vitesse et a déjà perdu une partie de sa valeur. Dans le même temps, elle en a pris dans l'esprit du cédant, d'où des difficultés accrues à se comprendre et se mettre d'accord.

Lorsque la décision de céder est définitive, le dirigeant va devoir définir en amont la manière dont il envisage le déroulement du processus et l'évolution des relations, afin qu'il soit en mesure de contrôler une situation qu'il avait envisagée. Il est en effet possible qu'il doive faire face à une peur, à une incompréhension, à des appréhensions, à un contre-pouvoir qui peut se mettre en place dans l'entreprise, et donc à une dégradation du climat social, qui peut engendrer une baisse de productivité. Des revendications peuvent apparaître, ce qui va avoir des conséquences négatives pour le repreneur et la relation cédant/repreneur. Il faut donc s'intéresser aux origines de l'entrée possible dans ce cercle vicieux. Il s'agit du leadership et du degré de confiance de la relation cédant/collaborateurs.

Il perçoit dans la plupart des cas quatre émotions suite à cette décision capitale: la peur, la honte, la tristesse et la colère. Il traduit ses ressentis par la fuite, l'évitement ou le contournement, l'immobilisme... Suite à ce changement de comportement, son entourage personnel et professionnel peut donc s'interroger. L'auto dévaluation risque d'autre part de le mener à une dévalorisation de l'entreprise. Parfois au contraire, "l'auto dévaluation va générer un désir de compensation, qu'il va traduire par une survalorisation de l'entreprise et

l'exigence d'un prix inadéquat" (Meier & Schier). Cette survalorisation est plus largement liée à l'attachement affectif de chaque cédant pour son entreprise. Il oublie le côté objectif de sa personnalité, et ignore la réalité du marché.

Dans d'autres situations, le cédant se sent supérieur à tout candidat à la reprise, qui ne pourra jamais atteindre son niveau de connaissance de l'entreprise. Il prend le risque de donner une mauvaise première impression, regardant de haut son interlocuteur et vantant son bilan et ses compétences. Ce comportement mènera à une éventuelle relation de confiance de façade, mais ces bases d'échanges sont fragiles à moyen terme.

Un autre point d'interrogation majeur pour le cédant est la personnalité du repreneur, et la qualité de la relation qui va s'instaurer. Cette personne sera responsable de l'entité qu'il détient actuellement, de son évolution au niveau financier et stratégique, mais surtout social : il s'agit de la motivation et du bien-être futur des employés. Une relation basée sur des critères financiers atteint rapidement ses limites en termes de transmission d'informations et de satisfaction mutuelle. Les deux personnes mènent une négociation qui peut voir émerger un vainqueur et un vaincu. Un repreneur vaincu constitue le risque pour le dirigeant de prendre ses distances après avoir reçu les informations nécessaires, et ainsi mettre rapidement en place son plan de reprise sans tenir compte suffisamment du passé de l'entreprise. Les conséquences probables surgissent au niveau du refus des salariés se trouvant face à une personne qui impose ses décisions alors qu'il ne dispose pas de la légitimité nécessaire. Le climat social se dégrade alors et les objectifs en termes de résultats ne seront pas atteints.

1.2 Le repreneur, éclaireur s'apprêtant à partir à la rencontre du gardien du temple.

Muzyka & Birley insistent sur "le facteur d'équilibre primordial que constitue la préservation du cercle de la famille et des amis" pour l'acquéreur potentiel qui construit son projet de reprise. Les repères qu'il possède sont souvent remis en cause, ce qui peut être une source de déstabilisation pour lui.

Pour le repreneur, le risque lié à sa personnalité est d'avoir un coup de coeur pour une entreprise, et de perdre son objectivité. Il masque ainsi les points négatifs de l'entreprise et découvrira la réalité du terrain lors de la période de transition, après la signature de l'acte de vente. Cette situation est fréquente dans la mesure où son interlocuteur l'entraîne dans cette direction. Cette attitude tend donc à améliorer la qualité de la relation cédant/repreneur par un rapprochement de leur point de vue sur l'entreprise et son potentiel.

Un point d'incertitude important pour le repreneur concerne le niveau de responsabilités du
cédant. Son champ d'action dépend en effet fortement de son identité et de sa personnalité. Il

faudra donc approfondir l'étude de sa personnalité et de sa fonction, afin de cerner précisément la relation homme - fonction.

La compréhension pour chacun des acteurs de ses propres enjeux et de ceux de son interlocuteur, permet de faciliter l'estime mutuelle et les aider à adapter leurs comportements. Pour parvenir à cet objectif, ils doivent préparer ce premier rendez-vous.

2. Une première analyse de l'entreprise, étape indispensable avant toute rencontre.

Avant de se rencontrer, les deux acteurs de l'opération doivent s'intéresser au profil de leur interlocuteur et aux caractéristiques de l'entreprise transmissible. La constitution d'un dossier est donc vivement conseillé, pour lequel Lecointre (2008) fixe deux règles :

· Le dirigeant cédant s'engage à être transparent sur toutes les données qui constituent la carte "génétique" de l'entreprise.

· Le repreneur doit prendre le temps d'étudier le dossier dans un certain ordre, sans brûler les étapes.

Ces règles d'or semblent basiques, mais sont trop rarement respectées. Le cédant transmet effectivement régulièrement des données générales sur l'entreprise, mais refuse toute autre avancée lorsque son interlocuteur souhaite étudier la concurrence sur ce marché, le dernier bilan ou les investissements de l'entité. Il pense être en mesure de céder en transmettant peu de données confidentielles avant tout engagement de la part du repreneur potentiel. Les deux protagonistes sont pourtant conscients qu'il faut trouver un juste milieu entre la confidentialité des données de l'entreprise, et sa totale "mise à nu" auprès des repreneurs potentiels. Chacun va devoir suivre une démarche précise afin de respecter les règles précitées et d'atteindre leur objectif commun : réaliser une opération de transmission/reprise satisfaisante.

2.1. La constitution du dossier de la part du cédant :

En échange du ciblage sur des repreneurs potentiels sérieux, le cédant doit être prêt à confier de plus en plus d'informations au-fur-et-à-mesure du processus de sélection :

- une brève fiche descriptive de l'entreprise pour la présélection des repreneurs.

- un dossier complet de présentation pour la sélection de l'acquéreur, ou "Selling

Mémorandum" (Meier & Schier), après la signature d'un engagement de

confidentialité des données.

- des informations détaillées si le cédant est satisfait du déroulement du premier entretien.

- toutes les informations nécessaires pendant la phase de négociation et des audits d'acquisition.

Si le dirigeant n'est pas apte, dans ce contexte, à "photographier" et confier les données suivantes à ses conseils, il n'est pas prêt psychologiquement à céder son entreprise :

· historique de l'entreprise.

· documents liés à l'aspect juridique: répartition du capital, conventions, statuts.

· descriptif détaillé de l'activité (CA par produit, fournisseurs, exclusivités...).

· documents commerciaux, organisation commerciale et nombre de clients.

· données concernant le marché, y compris les avantages concurrentiels.

· liste des moyens d'exploitation (locaux, matériels, personnel)

· documents financiers (bilan des trois derniers exercices, tableaux de bord analytiques, business plan prévisionnel, trésorerie moyenne et mensuelle, présentation des banques partenaires, analyse des comptes courants, de la distribution de dividendes et des cautions apportées).

Ces apports sont obligatoires de la part du cédant, qui présente ainsi son entreprise de manière transparente et construit les bases d'une relation de confiance avec le repreneur. Il est alors en droit d'exiger des efforts de la part du ou des repreneur(s) potentiel(s).

2.2. L'étude du dossier de la part du repreneur:

Le repreneur potentiel se concentre dans un premier temps sur la compréhension du métier exercé et du secteur d'activité de l'entreprise, puis sur ses aspects technique, humain, environnemental et concurrentiel.

Il doit ensuite établir une fourchette de prix de cession assez large, et déterminer si elle est compatible avec ses moyens financiers.

Lors de cette étape, les bilans et états financiers de l'entreprise ne sont pas encore disponibles. D'après Lecointre (2008), "ils ne sont d'ailleurs pas nécessaires dans la mesure où ils déforment souvent la réalité de la situation économique de l'entreprise".

Si le candidat repreneur estime disposer de moyens financiers suffisants à ce stade de l'étude, il doit réfléchir à la valeur ajoutée qu'il peut apporter à l'entreprise. Le processus de reprise peut se poursuivre en cas de réponse positive. Aborder le sujet de l'origine de cette valeur ajoutée au cours de la phase de négociation serait une erreur regrettable pour le repreneur, qui apporterait à son interlocuteur une raison de limiter ses efforts au niveau de la baisse du prix de cession.

Il peut alors répondre favorablement à une demande de premier rendez-vous en compagnie du
dirigeant. Il doit maîtriser les points centraux de l'entreprise et de son organisation, mais aussi
mettre en avant des questions cohérentes, qui capteront l'attention du cédant et le valoriseront.

3. La première rencontre.

Des règles doivent être fixées au niveau de la confidentialité des données échangées et de la transparence. La construction d'une relation de confiance se trouve en effet directement liée au respect de ces deux principes. La relation désigne "la forme et la nature du lien qui unit deux ou plusieurs personnes : on parle ainsi de relations professionnelles" (Picard, 2002). Elle implique une certaine stabilité. Le lien est subjectif en même temps qu'objectif, ce qui a des conséquences directes sur le déroulement de chaque phase du processus de transmission d'entreprise. Il s'agit maintenant de décrire le montage d'une relation de confiance entre les deux parties.

Plusieurs règles d'or existent afin de construire les fondations d'une relation de travail saine :

· Juger le passé est un sujet qui perturbe. Il est donc conseillé de n'aborder que le futur dans le cadre de cette rencontre.

· Rester ouvert au point de vue de l'interlocuteur en cas de désaccord.

· Montrer que l'on connaît son dossier par des questions et réponses précises concernant l'entreprise.

La première rencontre se déroule le plus souvent entre deux profils assez différents, notamment au niveau de l'âge et de la formation. Le fondateur se trouve face à un commercial ou à un technicien, qui sont les profils type des repreneurs des années 2000. Même si ils visent un objectif similaire (la réussite de l'opération), les visions portées sur l'entreprise sont opposées : une haute valeur affective (dépendant de critères subjectifs ou liés au passé de l'entreprise) fait face à une vision financière (liée à un calcul de la durée de remboursement de l'emprunt nécessaire au rachat). Chacun doit donc prendre en compte les arguments de l'autre partie, et "mettre de l'eau dans son vin", sous peine que la suite de l'opération ne tourne à la confrontation.

Ce rendez-vous s'apparente, quel que soit l'initiateur de l'opération, à un entretien d'embauche du repreneur, pendant lequel celui-ci présente sa candidature et doit convaincre. Les deux protagonistes sont dans la phase de découverte, la qualité qu'ils doivent mettre en avant est donc l'écoute, afin d'obtenir des informations nécessaires à la poursuite de ce projet de transmission/reprise de l'entreprise.

Le repreneur a pour objectif de centrer la discussion sur la vie de l'entreprise. Il doit
finalement peu parler de lui, car il est en mesure de convaincre indirectement son

interlocuteur. Il pourra en effet démontrer ses compétences par l'intermédiaire de questions judicieuses et cohérentes vis-à-vis du dossier et des faits décrits par le cédant. Acquérir des informations techniques, économiques, sociales et liées à l'organisation de l'entreprise lui permettra de mieux cerner son fonctionnement au quotidien. De plus, il obtiendra des informations sur la personnalité de son dirigeant et la culture des salariés, ainsi que leur façon d'interagir.

Le cédant doit quant à lui étudier les compétences du repreneur au niveau humain, technique et financier. Pour le dirigeant-fondateur, le repreneur doit être digne de l'entreprise. Il va donc analyser la personnalité du repreneur potentiel à la manière d'un recrutement pour un poste de direction. Mais il a tendance à rechercher une personne proche de ses aspirations, afin d'assurer une certaine continuité dans le changement, plutôt qu'une personne qui apporte un réel renouveau à l'entreprise. Il privilégie trop souvent la relation cédant-repreneur, plutôt que le lien repreneur-entreprise.

Le repreneur potentiel doit donc entamer un processus de légitimation, notamment au niveau de deux points clés : vision et mission. La vision constitue la façon dont la personne perçoit le métier tandis que la mission représente la façon de valoriser l'entreprise. Le cédant y sera très sensible car il craint souvent une perte d'identité de l'entreprise suite à sa cession.

Mais le "candidat" doit rester lui-même et bâtir son plan de reprise en répondant en priorité aux besoins de l'entreprise en vente. Il doit en parallèle préserver la majorité des éléments d'ordre symbolique ou structurel provenant de l'ancien dirigeant, dans l'optique de faire évoluer l'entreprise dans un souci de vision partagée.

Une alchimie doit s'opérer entre les deux acteurs, tout du moins en apparence. Elle est représentative de certaines valeurs communes, ce qui constituera un élément facilitateur pour une opération réussie, notamment vis-à-vis des employés à la suite de l'arrivée du repreneur dans l'entreprise. Même si une relation de confiance se construit, chacun des acteurs ne prendra pas chaque donnée transmise pour argent comptant. Il devra l'étudier et la recouper avec d'autres documents ou discours reçus au cours des différentes phases.

On peut citer, parmi les risques impactant sur la qualité de la relation, les constatations suivantes :

· Une paranoïa récurrente de la part du cédant, qui confie peu d'informations alors que la confiance de confiance est mutuelle.

· Un excès de zèle du repreneur, qui sent l'affaire bouclée avant la signature et change de comportement.


· Des points de vue inconciliables, à cause d'une éducation, d'une formation ou d'une culture distincte.

Il est fréquent que le cédant ait déjà monté son dossier et effectué son évaluation basée sur les trois meilleurs exercices. Evoquer ce point lors de la première rencontre est souvent un premier sujet de désaccord majeur étant donné que son interlocuteur ne dispose que de peu d'informations sur l'entreprise, mais sera dans la plupart des cas au courant qu'il doit se concentrer sur les trois derniers bilans. Il est donc préférable de ne pas aborder l'aspect financier de l'opération, sous peine de compliquer la relation humaine.

Lecointre (2008) déclare qu'un "premier rendez-vous positif est un rendez-vous que l'intervenant désire renouveler".

A la suite de l'entretien, chaque intervenant doit prendre rapidement l'initiative d'exposer ses intentions concernant la poursuite ou non de la négociation. Dans le cas où le repreneur juge l'entretien positif, il enverra un message de remerciement, et abordera éventuellement un point important pour lequel il souhaite obtenir des informations supplémentaires.

4. Approfondissement de la relation de confiance :

Au terme de plusieurs rencontres, le candidat repreneur possède une première idée concernant le leadership du dirigeant en place. Il se base sur l'historique du développement de l'entreprise, mais aussi sur le "processus parallèle", qui consiste à considérer que la relation cédant/repreneur se construit et fonctionne de la même manière que la relation cédant/collaborateurs.

S'il ressent une certaine confiance et proximité envers son interlocuteur, son hypothèse montre que le dirigeant est proche de ses équipes et respecté. Il peut en tirer deux conclusions:

· Le climat social est plutôt bon et les employés font confiance au dirigeant car il a souvent pris les bonnes décisions.

· Le repreneur va connaître des difficultés pour remplacer cette personne et va devoir être irréprochable, car les employés idéaliseront la période pendant laquelle il travaillait avec son prédécesseur.

S'il estime ne pas cerner réellement la personnalité du cédant, il préjuge que son degré de leadership est limité et qu'il existe un contre-pouvoir dans l'entreprise. Dans ce cas, deux déductions s'imposent:

· Le repreneur va être en mesure de s'imposer rapidement et faire oublier son prédécesseur.


· Le climat social va être plus tendu, et des revendications vont voir le jour. En fonction du point de vue des personnages clés de l'entreprise sur la stratégie, l'acquéreur va décider de promotions ou licenciements, voire de restructurations.

Cerner la personnalité du cédant va aussi permettre à l'acquéreur d'évaluer le niveau d'implication de son interlocuteur pendant la phase d'accompagnement. En outre, il pourra apprécier le rythme de changement qui a été impulsé à l'entreprise pendant ces dernières années, et en tenir compte dans son plan de reprise. On constate en effet que plus les salariés sont habitués à leurs méthodes de travail, leurs acquis et leurs habitudes depuis longtemps, plus il est difficile de les convaincre du bénéfice qu'ils vont tirer du changement. Faire accepter un changement et assurer sa mise en place ne dépend donc pas que du nouveau dirigeant, qui devra convaincre et "mettre les formes".

Les protagonistes doivent poursuivre continuellement le développement de la relation. La connivence se travaille, en prenant du recul sur un éventuel "courant de pensée ou d'action commun" (Lemonnier, 2007). Au cours des différents échanges, chacun doit réaliser un bilan concernant les connivences existantes et celles à développer, dans une optique de meilleure compréhension et connaissance de son interlocuteur. Les émotions doivent aussi être recensées, avec les émotions comprises par l'interlocuteur (émotions communes) et non comprises, qui peuvent le heurter. D'autre part, lister les valeurs de chacun permet de dégager certains antagonismes. Un suivi doit donc être entamé, afin d'apprendre de chaque interaction.

Ils doivent donc multiplier les échanges, et peuvent matérialiser leur entente cordiale en construisant une relation personnelle d'amitié.

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"Il y a des temps ou l'on doit dispenser son mépris qu'avec économie à cause du grand nombre de nécessiteux"   Chateaubriand