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L'évaluation de la performance de la recherche et de l'innovation dans les laboratoires universitaires.

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par Guy DONGMO
Université de Nantes  - Master II Sciences de Gestion 2008
  

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G. DONGMO ; Mémoire de MII en Sciences de Gestion- Institut d'Administration des Entreprises, Nantes, France Page 47

L'évaluation de la performance de la recherche et de l'innovation dans les laboratoires universitaires.

économiques

 

et réutilisation des

connaissances créées

process

Stratégie de

gestion

Distribution des ressources

de production des

connaissances et des
questions de Recherche

Comités, transfert de

savoir, liste des champs d'innovation

Management de projet

Principe d'organisation

Equipes pluridisciplinaires

fondées sur les
compétences

Equipes innovantes duales

Equipes de projets,

matrice, conception
participative

 

Ce tableau de Le Masson nous permet de mieux comprendre les sens qu'il donne au concept d'innovation qui renvoie à un processus bidimensionnel (Lenfle, 2008).

> Processus de définition de valeur

> Processus d'identification des nouvelles compétences.

Ainsi, ce moyen de création de création de connaissances est susceptible de réorienter complètement l'exploration des solutions envisagées. Bien plus, selon Lenfle et Midler , l'intensité d'apprentissage est fonction de la capacité des acteurs à générer, réaliser et explorer un flux continu d'épreuves pendant un laps de temps précis. Il s'agit ici comme le pense aussi Hatchuel (1999) de souligner la nécessité de l'action en l'absence de préférence claire, action qui va permettre de mettre en évidence progressivement les problèmes et les solutions.

Le processus bidimensionnel cité ci-dessus est indispensable à l'action innovante car selon (Le Masson, Hatchuel et Weil, 2006, P224), « le rôle de la fonction de conception innovante est de conduire simultanément ces deux processus qui constituent un unique processus de conception afin d'alimenter le développement avec des valeurs et des nouvelles compétences et de soumettre à la recherche des nouvelles questions. »

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L'évaluation de la performance de la recherche et de l'innovation dans les laboratoires universitaires.

Figure 5 : Relation entre R, I et D (Le Masson et al)

Malgré ces quelques réflexions sur la recherche le développement et aussi sur l'innovation nous constatons qu'il est toujours difficile de répondre à question de savoir, comment manager la recherche ? Et quels sont les enjeux et les perspectives du management de la recherche dans les laboratoires universitaires ? Bien plus est ce que les critères d'évaluation de la performance des projets d'innovation sont compatibles avec les exigences managériales de la recherche au sein d'un laboratoire ? Nous allons essayer dans la suite du travail d'apporter quelques réponses sans doute pas exhaustives à ces questions.

A1- Le projet comme forme d'innovation ?

Avant toute réflexion il nous convient de préciser certaines nuances sémantiques concernant la notion de projet et d'innovation.

Selon la norme ISO 10006 (1998) un projet peut être défini comme « un processus, qui consiste en un ensemble d'activités coordonnées et maitrisées comportant des dates de début et de fin entreprise afin d'atteindre un objectif conforme à des exigences spécifiques telles que les contraintes de délais, de coûts, et de ressources ». Ainsi, l'innovation marquée par l'incertitude, ne s'épanouit pas dans les organisations trop stables définies sur la séparation des fonctions et des métiers (Boldrini, 2005). Bien plus,

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dans le développement d'un produit/service nouveau par exemple, que ce soit une approche d'exploration ou d'exploitation de l'innovation, il y a quatre prémisses fondamentales sans lesquelles, il est impossible de parler de projet aux dires de J.P Boutinet ( 1999, Pp 256-258) à savoir, a) l'unicité de l'élaboration et de la réalisation, b) la singularité de la situation à aménager, c) la gestion de la complexité et de l'incertitude et d) l'exploration d'opportunités dans un environnement ouvert.

De ce fait un projet est caractérisé par un ensemble d'exigences telles que la satisfaction d'un besoin spécifique (singulier) ou particulier (non répétitif) une organisation temporaire (date de début et de fin), un caractère novateur le souvent, une complexité fréquente et de l'incertitude (AFITEP, 1998).dès lors le management de projets devient intéressant puisqu'il permet :

· une rigueur d'organisation alliée à une souplesse d'adaptation,

· un travail en équipe projet qui favorise une perception globale et une représentation commune du problème à traiter,

· une plus grande créativité et une forte motivation des acteurs qui y sont impliqués,

· l'instauration de lieux d'échanges propices à de nouveaux apprentissages,

· une valorisation des personnes qui constitue, en retour, un outil d'évolution des organisations.

Pour la plupart des auteurs, il est plus convenable d'étudier le projet avec un regard « multiréférentiel ». C'est certainement une des raisons qui font du projet une notion fondamentale de modélisation systémique et complexe (Le Moigne, 1994 ; 1995). Alors que pour D.Leroy (1996, cité par boldrini, 2005), il faut distinguer trois niveaux de lecture : instrumental, politique, cognitif.

A2- Vers un lien entre innovation et projet.

Il semble à priori avoir une convergence entre l'innovation et le projet malgré le caractère complexe de la relation (Lenfle, Midler ; 2003). Les projets sont en fait une forme particulière du fonctionnement « organique » caractéristique des organisations

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innovantes selon Burns & Stalker (1961 ; cité par Benhamou & Le Garrec, 2005). La représentation d'un espace de conception innovante peut nous permettre de prime abord de nous interroger sur l'adaptation de l'organisation par projet au management de l'innovation dans les laboratoires de recherche universitaire. Lenfle (2001) distingue cinq caractéristiques d'un projet « innovation » qui vont le différencier d'un projet de développement :

· Des projets émergents et stratégiquement ambigus : ils donnent des repères et des indicateurs pour piloter efficacement de manière active le processus, ceci malgré le fait que dans les projets les plus innovants, et parfois, les plus réussis, l'innovation permet ou susciter des évolutions de la visée initiale. Soulignons tout de même avec Lenfle (2008) que « l'histoire du projet montre que les blocages et les bifurcations du projet vont préciser et durcir le discours stratégique, montrant les différences de ces scénarios et permettant à l'entreprise de préciser ses choix.

· Une démarche proactive : Elle est caractérisée par un ensemble de problématiques traduisant la complexité de l'innovation. Etant donné qu'il est question de contourner l'une des difficultés majeures de toute innovation qui est la formulation ex ante de l'objectif. C'est d'autant plus complexe qu'il s'agit de trouver le lien entre l'absence d'une demande explicite et le marché clairement identifié.

Il s'agit dans un premier temps d'un processus d'allocation des ressources. Cette allocation de ressources est d'autant plus difficile que l'existence d'une clientèle préalable conditionne très souvent son obtention.

En plus, dans un deuxième temps, il est question d'identifier les futurs clients dans le marché clairement défini (sans oublier que une innovation peut être souvent utile à un marché ou une clientèle parfois différente de celle définie ex ante, ainsi on se pose des questions telles que : qui sont-ils ? que veulent-ils ? comment les impliquer dans le processus de conception ?...)

· La difficulté à spécifier le résultat des projets : Ici la notion de « résultat » d'un projet d'offre innovante est problématique, faute d'une demande clairement définie et précise d'une clientèle (Hatchuel & Weil ; 1999).

L'évaluation de la performance de la recherche et de l'innovation dans les laboratoires universitaires.

Ainsi, l'enjeu de ces projets est de construire des connaissances qui participeront à l'élaboration de décisions de développements futurs. L'issue d'un projet dès lors difficile à définir. Du fait du caractère abstrait et diffus tant du résultat que des enjeux. On se prive du puissant moteur de mobilisation des acteurs que constitue un projet clair, concrétisé par la réalisation d'un objet à une date précise et sous contrainte de ressources disponibles (Moisdon et Weil ,1998).

· L'exploration des nouvelles poches de connaissances : Les projets d'offre innovante concernant une innovation technique qui par définition, n'est pas stabilisée. L'équipe projet à la nécessité d'explorer et de développer des nouvelles connaissances, relatives au projet d'innovation, à son utilisation et à ses conséquences chez les clients. Dès lors, l'incertitude technique et économique risquent de transformer en une culture de précaution qui irait à l'encontre des principes d'anticipation du modèle de l'ingénierie courante (Lenfle, 2008)

· Une temporalité particulière : Ici, le processus guidé par les jalons et borné par les impératifs commerciaux est caractéristique du développement de nouveaux produits dans le cadre des projets de développement. Ainsi l'urgence est organisée et constitue un puissant outil de mobilisation des hommes autour de l'activité collective.

Par contre, un projet d'innovation revêt une approche différente. L'innovation obtenue doit être reprise et intégrée dans les projets de développement. De ce fait, puisqu'il s'agit d'une superposition des projets, la lisibilité des échéances temporelles devient ainsi difficile. C'est ce que Lenfle qualifie d' « urgence masquée », puisque les acteurs pensent disposer du temps nécessaire pour la réalisation de l'objectif. La difficulté est d'autant plus profonde que, les acteurs doivent s'organiser et se mobiliser dans ce contexte tout en gardant à l'esprit la clairvoyance, d'explorer des pistes nouvelles qui, elles, pourront être utiles pour la conception des projets ultérieurs. C'est une caractéristique des situations d'innovation (voir tableau 1) que Hatchuel qualifie d' « horizon contingent ».

En conséquence le mode de la recherche et des avant-projets sont progressivement orientés vers les rationalisations de la conception, qui étaient partie intégrante des métiers

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du développement. Selon Lenfle (2001, Pp 242-243), pour répondre à cette problématique suggère pour le management des projets d'innovation trois principes :

> Le management des connaissances dans et entre les projets : les projets génèrent des connaissances qu'ils n'en utilisent, situation problématique pour les projets d'innovation puisque la problématique de réussite des différentes études effectuées est très souvent faible. De la sorte, il est important d'avoir un dispositif de pilotage qui collecte et réutilise les connaissances nouvelles dans des nouveaux projets

> Donner un rythme pour lutter contre l'urgence masquée : puisque le projet d'innovation n'est soumis à aucune contrainte temporelle précise à priori, l'établissement d'un calendrier devient difficile. Alors il devient plus risquer de marquer les opportunités du marché (si le projet n'est pas en phase avec l'évolution du marché). Bien plus, le « chef projet », doit créer à partir de rien des échéances pour dynamiser le projet.

> La Co-exploration fournisseur-client : nous savons que une caractéristique primordiale des projets d'innovation est l'impossibilité de définir ex ante la cible à atteindre. Il est donc nécessaire d'établir les nouvelles coopérations qui d'une part, se situeraient en amont du processus de conception (il ne s'agit pas de Co-développement, mais d'explorer ensemble des problématiques pertinentes et les moyens d'y répondre), d'autre part, mettre en commun des compétences mutuellement inclusives qui sont déjà existantes. Et ainsi, mobiliser les efforts de façon à ce qu'ils convergent vers un objectif qui serait la Co-exploration qui est un processus tridimensionnel (exploration des possibles, sélection des pistes, développement de demi-produits).

Nous remarquons ainsi la difficulté de gérer les projets d'innovation dans les laboratoires. Puisqu'ils sont soumis à des contraintes, temporelles ; de délais etc. puisque leur mode opératoire est conditionné de plus en plus par des appels d'offres. Autrement, l'horizon temporel est restreint à cause bien évidemment de la compétitivité et vraisemblablement des critères de performance des laboratoires. On peut s'interroger sur

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la restructuration de la gestion des laboratoires de recherche en harmonie avec les impératifs de délai, de coûts... et les exigences de performance.

Toutefois, les projets « innovation » présentent à quelques nuances près les mêmes caractéristiques que tous les projets (Midler, 1996). (Voir le tableau 2)

Les caractéristiques des projets (Midler, 1996)

· Une démarche finalisée par un but et fortement contrainte. Un projet se définit d'abord par l'objectif à atteindre, décliné en termes de performance, de délai et de coût, et disparaît avec sa réalisation

· Une prise en compte de la singularité de la situation. L'atteinte des objectifs assignés au projet suppose d'intégrer sa singularité ce qui remet le plus souvent en cause les modes de fonctionnement des acteurs métiers de l'entreprise ;

· Une affaire de communication et d'intégration de différentes logiques. La logique des projets suppose, à l'opposé des principes tayloriens de division du travail, la combinaison des expertises des différentes acteurs (recherche, marketing, production...) de la définition de la cible, jusqu'à la mise sur le marché du produit. L'organisation de la coopération entre les acteurs est alors un point clé de l'efficacité du projet.

· Un processus d'apprentissage dans l'incertitude. Un projet est, par essence, une activité risquée. Il faut s'engager dans le projet pour savoir s'il ira jusqu'à son terme et où ce terme se situera exactement. Les acteurs découvrent chemin-faisant problèmes et solutions selon une logique décrite par Schön comme une « conversation avec la situation » qui répond aux acteurs, les surprend et les oblige à lancer de nouveaux apprentissages.

· Une convergence dans une temporalité irréversible. Contrairement à l'horizon des métiers, celui des projets est clairement borné par une fin annoncée ex-ante. Entre le début et la fin du projet se déploie un processus d'apprentissage que Midler(1993) décrit comme une dynamique irréversible où l'on passe d'une situation on l'on ne sait rien mais où tout est possible, à une autre où le niveau de connaissance a atteint son maximum mais où toutes les marges de manoeuvre ont été utilisées.

· Un espace ouvert et fluctuant. Il n'est pas possible de définir a priori les frontières du projet qui mobilise différents métiers dans l'entreprise mais également différentes entreprises (un constructeur automobile et ses fournisseurs, par exemple).

Encadré donnant quelques caractéristiques du projet selon Midler(1996)

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Nous pouvons noter qu'il n'est pas question dans les projets « Innovation » de gérer la convergence vers un objectif défini ex ante. C'est donc « l'organisation de l'exploration d'un nouvel espace de conception dans lequel ni les concepts, ni les connaissances ne sont clairement définie (Hatchuel & Weil, 2006), dans un cadre temporel lui aussi pas précisé.

Ceci a deux conséquences :

> Les objectifs à atteindre vont se préciser peu à peu à la fois en terme de produits à lancer en développement et de concept et/ou connaissances à explorer ;

> Le pilotage est de type « stop or go » (ECOSIP, 1993) : chaque jalon est l'occasion de s'interroger sur la trajectoire suivie par le projet. » (Lenfle, 2008). Autrement, Boutinet (1993, cité par JP Brechet, 2006) nous rappelle que la notion de projet qui puise ses racines dans des nombreux univers disciplinaires ne peu se réduire à « quelques contenus d'évidence, conformément aux vertus de la rigueur analytique » (Bréchet & Scheib-Bienfaits, 2006). Ainsi on peut définir le projet selon Bréchet, « comme anticipation à caractère opératoire, de type flou, d'un future désiré. Le projet articule les dimensions qui permettent de se saisir de l'action, il met notamment en jeu la question du sens et la question plus pragmatique de l'agir en associant l'ordre des fins et celui des moyens. »

Par ailleurs, observons à coté des sciences naturelles et de la philosophie, notamment existentialiste (Bréchet, 2006), que le projet est mis au coeur de l'humain. De plus, la psychologie cognitive, dans les travaux les plus récents, montre que, ce ne serait pas la raison, même associée aux émotions qui expliquerait l'action. Mais plutôt « la dimension de mémoire et d'anticipation que la physiologie du cerveau dissocierait.» (Bertoz, 1993)

Ainsi le projet est non seulement « effort d'intelligibilité (un travail sur les savoirs à caractère plus ou moins collectif ou partagé) » mais aussi, « un effort de construction de l'action (un travail de prescription des savoirs et donc de contrôle des comportements, à caractère aussi plus ou moins collectif ou partagé) » (Bréchet & scheib-Bienfait, 2006).

L'évaluation de la performance de la recherche et de l'innovation dans les laboratoires universitaires.

Si le « projet collectif » peut se comprendre comme « un processus de rationalisation de l'action collective fondé sur l'anticipation » (Bréchet et Desreumaux, 2004, 2005), nous pouvons penser dès lors comme Hatchuel et Weil (2000, 2005) que le projet comme toute rationalisation met en jeu une dynamique bidimensionnelle, de savoir et de relation dans sa conception et son procession. En outre, force est de constater que cette façon certes pertinente de voir est nécessaire, mais pas suffisante à notre sens, puisqu'elle n'inclut pas les mythes qui subsisteraient dans les organisations et qui auraient un impact considérable sur le comportement des acteurs et donc leur mode de prise de décision et de gestion des organisations (dans notre cas des laboratoires de recherches). N'est-il pas plus approprié de dynamique tridimensionnelle, de savoir ; de mythes et de relations ?

Nous verrons de façon un peu plus précise le pilotage des projets « Innovation », à la fois leur impact sur l'organisation, le projet d'innovation et la gestion stratégique des projets innovants. En somme il s'agit pour nous de voir les principes qui cadrent le management des projets d'innovation dans un laboratoire de recherche d'une part ; et d'autre part de comprendre ce qui fonde les critères d'évaluation de la performance des laboratoires de recherche.

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"L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit"   Aristote