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Le graffiti à Beyrouth : trajectoires et enjeux dà¢â‚¬â„¢un art urbain émergent
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par
Joséphine Parenthou
Sciences Po Aix-en-Provence - Diplôme de Sciences Politiques 2015
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INTRODUCTION
A. Identités plurielles et trajectoires de vie diverses
1. Nationalités multiples et expérience de l'international
2. Influence de la diversité libanaise au sein du territoire national
3. Une génération relativement concentrée
B. Un milieu social d'origine non populaire et combinaisons variables
1. Un capital culturel relativement élevé
2. Un capital économique variable, de la « classe moyenne » aux catégories sociales supérieures
3. Combinaisons des capitaux et absence des catégories populaires ou défavorisées
C. Un passé communautaire ou militant peu renseigné : entre rejet et
1. L'incompréhension des graffeurs lors des entretiens
2. Un milieu d'origine et des graffeurs eux-mêmes peu communautaires
3. La question de l'engagement et du communautarisme comme tabou encore présent
A. Des parcours universitaires et des choix professionnels similaires ?
1. Des trajectoires universitaires quasi-identiques
2. Des trajectoires professionnelles toujours en formation
B. Des pairs aux mentors, un choix éminemment collectif
1. Commencer sur les trousses des copains
2. La rencontre avec le mentor comme « point d'entrée » dans la carrière
3. Des débuts « individuels » ?
C. Arriver à Beyrouth : multiplication des réseaux et insertion dans la scène artistique underground
1. Habiter à Beyrouth facilite-t-il l'engagement dans la carrière ?
2. Influence de la scène hip-hop
3. Une capitale cosmopolite, entre cultures moyen-orientales et européennes
A. Le graffiti : une pratique sociale et culturelle comme moyen d'intégrer la société ?
1. Le graffiti comme domestication de soi
2. Des pratiques transgressives et distinctives perçues comme intégratives et connectives
B. Une place dans la société qui serait déjà « acquise » et confirmée
1. Une origine socioculturelle pleinement intégrée à la société libanaise
2. Rejet et création de conventions sociales plus qu'artistiques
CONCLUSION
A. Commencer par le commencement : le choix du blase
1. Le choix du nom, passant par le tag, est antérieur à l'apprentissage pratique du graffiti en cela que ce dernier repose en tant qu'art urbain sur la signature
2. L'apparition de nouveaux blases sur les murs comme moyen facile d'être repéré et de repérer de nouveaux entrants potentiels
3. Quelques exceptions traduisant des stratégies diversifiées de (re)connaissance par le blase
B. Apprendre les conventions supposées communes à l'ensemble des scènes graffiti
1. La maîtrise des instruments et des ressources disponibles
2. L'apprentissage d'un vocabulaire spécifique et de ses applications
3. Une transformation constante de soi et de l'attitude du « graffeur » en construction
1. Une multiplication des formats utilisés comme entraînement technique et création progressive de son univers artistique
2. Complexification des oeuvres et recherche de nouveaux procédés techniques
3. Une production de plus en plus collective et un engagement maintenu par le facteur collectif
B. Une glocalisation de la pratique du graffiti ?
1. Faciliter la compréhension des oeuvres, ou l'exploitation des opportunités locales
2. La réadaptation des formes artistiques locales graffiti
3. L'utilisation de personnalités ou de références symboliques au Liban
C. Le graffiti beyrouthin peut-il réellement être considéré comme un monde de l'art local ?
1. La prééminence de la reconnaissance des pairs
2. La reconnaissance des clients et passage d'une labellisation de « graffeur » à celle
B. Une diversification des modes de diffusion et de visibilité
C. La commercialisation comme indicateur de professionnalisation ?
CONCLUSION
A. Une rupture des buts du graffiti : un but artistique bien différent des anciennes pratiques de l'affichage à Beyrouth
1. L'introduction d'un graffiti non milicien à Beyrouth
2. Un tag sans marquage de territoire ?
3. Représentant de soi et non porte-parole d'une cause
B. Le graffiti comme création d'une distinction entre identité privée et identité publique
1. Le blase comme système de dénomination indépendant de l'identité du graffeur
2. La transformation des individus en activité, ou la sortie de l'essentialisme
C. Une volonté de sortir du prisme communautaire réaffirmée dans les discours et les pratiques
1. Un discours et une activité hostiles à la revendication de l'appartenance communautaire
2. La recréation d'un sentiment d'appartenance en dehors du communautarisme religieux
3. Le graffiti doit-il être vandale pour être du graffiti ?
1. Une critique assez floue et peu contrôlée
2. Un défaitisme au sein de la jeunesse beyrouthine perceptible chez les graffeurs
3. Une scène artistique encore fragile
A. Une utilisation renouvelée de l'espace urbain
1. Un contexte urbain opportun
2. Jouer avec les supports
B. Se réapproprier la ville et en faire le « musée du peuple »
1. La critique d'une ville qui se ferait sans ses habitants
2. Embellir la ville avec des couleurs
3. Véhiculer un message positif
CONCLUSION
CONCLUSION
ANNEXES
ANNEXE I « PRÉSENTATION DES GRAFFEURS »
ANNEXE II « EXTRAITS D'ENTRETIENS »
ANNEXE III « DYNAMIQUES MIGRATOIRES ET EXPLOSION URBAINE
ANNEXE IV « PLAN DE BEYROUTH »
ANNEXE VII « POCHOIRS »
ANNEXE VIII « GRAFFITIS ET MESSAGES POLITIQUES »
ANNEXE IX « GRAFFITIS ET RÉAPPROPRIATION DE L'ESPACE »
BIBLIOGRAPHIE
II. CRÉER SES PROPRES CONVENTIONS ? ENTRE DÉMARCATION PERSONNELLE ET PROCESSUS D'ARTIFICATION DE LA
III. LA CONSTITUTION PROGRESSIVE DE LA RÉPUTATION ET DE LA RECONNAISSANCE ARTISTIQUE : ENJEUX ET DÉBATS
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