WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Réflexions critiques sur le système de prévention des difficultés des entreprises OHADA

( Télécharger le fichier original )
par Eric Aristide MOHO FOPA
Université de Dschang-Cameroun - DEA 2007
  

précédent sommaire

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

TABLE DES MATIERES.

DEDICACE.....................................................................................................i

REMERCIEMENTS........................................................................................ii

PRINCIPALES ABREVIATIONS.......................................................................iii

SOMMAIRE....................................................................................................iv

INTRODUCTION GENERALE 1

TITRE I : UN SYSTEME DE PREVENTION- DETECTION PEU SATISFAISANT. 8

CHAPITRE I : LES INSUFFISANCES DES MECANISMES DE PREVENTION DETECTION. 9

SECTION I : LES LIMITES DE L'ALERTE DECLENCHEE PAR LES COMMISSAIRES AUX COMPTES. 10

PARAGRAPHE I : L'IMPRECISION DU CRITERE DE MISE EN OEUVRE. 11

A- Le sens du critère. 11

B- Les difficultés d'appréhension du critère. 12

PARAGRAPHE II : LES IMPERFECTIONS DE L'ALERTE DECLENCHEE PAR LES COMMISSAIRES AUX COMPTES. 14

A- Les risques d'atteinte à la crédibilité de l'entreprise. 14

B - L'absence d'un dispositif d'alerte par les commissaires aux comptes dans de nombreuses entreprises. 15

1- les personnes morales non commerçantes. 15

2-L'absence de commissaires aux comptes dans de nombreuses entreprises commerciales. 16

SECTION II : LES RESULTATS MITIGES DE LA DETECTION DES DIFFICULTES PAR LES ASSOCIES. 17

PARAGRAPHE I : AU NIVEAU DU DROIT D'ALERTE DES ASSOCIES. 17

A- Le caractère facultatif. 18

B- Le caractère limité. 19

PARAGRAPHE II : AU NIVEAU DE L'EXPERTISE DE GESTION. 20

A- La notion d'expertise de gestion. 20

B- Les limites de l'expertise de gestion. 22

1- L'intrusion des tiers dans la société. 22

2- L'absence de célérité de la procédure. 23

CHAPITRE II : LES PISTES D'UNE AMELIORATION POSSIBLE DU SYSTEME DE PREVENTION-DETECTION. 25

SECTION I : LE SOUHAIT D'UNE REFORMULATION DES CONDITIONS DE MISE EN OEUVRE DES MESURES PREVENTIVES. 25

PARAGRAPHE I : LA CLARIFICATION DES CRITERES DE MISE EN OEUVRE. 26

A- De l'alerte. 26

B- De l'expertise de gestion. 27

PARAGRAPHE II : RENFORCEMENT DES POUVOIRS DES ORGANES CHARGES DE LA MISE EN OEUVRE DES MESURES DE PREVENTION DETECTION. 28

A- Le renforcement des pouvoirs des associés. 28

B- Le renforcement des pouvoirs du commissaire aux comptes. 29

SECTION II : L'INDISPENSABLE MULTIPLICATION DES ORGANES DE DETECTION. 30

PARAGRAPHE I : SUR LE PLAN INTERNE : LA RECONNAISSANCE D'UN POUVOIR DE DETECTION AUX SALARIES. 31

A- Les raisons. 31

B- Les moyens de détection des difficultés par les salariés. 32

PARAGRAPHE II : SUR LE PLAN EXTERNE : RECONNAISSANCE D'UN DROIT DE DETECTION AUX AUTORITES JUDICIAIRES. 33

A- L'alerte par le président du tribunal compétent. 33

B- La détection des difficultés par le ministère public. 34

TITRE II : UNE EFFICACITE RELATIVE DE LA PREVENTION- TRAITEMENT OU REGLEMENT PREVENTIF. 38

CHAPITRE I : L'INCERTITUDE DANS LES CONDITIONS D'OUVERTURE DE LA PROCEDURE. 40

SECTION I : L'IMPRECISION DU CRITERE D'OUVERTURE. 41

PARAGRAPHE I : UNE ABSENCE DE DEFINITION LEGALE PRECISE. 41

PARAGRAPHE II : UNE DISTINCTION MALAISEE PAR RAPPORT A LA CESSATION DES PAIEMENTS. 43

SECTION II : LES POUVOIRS EXORBITANTS RECONNUS AU DEBITEUR. 46

PARAGRAPHE I : L'INTRODUCTION DE LA REQUETE EXCLUSIVEMENT PAR LE DEBITEUR 47

A- Les raisons. 47

B- Les manquements. 48

PARAGRAPHE II : L'ELABORATION DU CONCORDAT PREVENTIF PAR LE DEBITEUR. 50

A- L'importance du concordat. 50

B- L'ambiguïté des conditions d'élaboration du concordat préventif. 51

1- De par le contenu. 51

2- De par le délai du dépôt. 53

PARAGRAPHE III : LA NECESSITE D'UNE REVISION DES POUVOIRS DE MISE EN OEUVRE DU REGLEMENT PREVENTIF. 54

A- Une extension des pouvoirs de mise en oeuvre aux créanciers. 54

B- La reconnaissance d'un rôle prépondérant aux autorités judiciaires. 55

CHAPITRE II : L'EFFICACITE RESTREINTE DES MESURES ENVISAGEES. 58

SECTION I : UNE INSECURITE JURIDIQUE GRAVE POUR LES PARTENAIRES DE L'ENTREPRISE. 59

PARAGRAPHE I : L'EBRANLEMENT DES DROITS DES CREANCIERS. 59

A- Les créanciers de salaire. 59

B- Les autres créanciers du débiteur. 61

1- Les restrictions des droits des créanciers. 61

2- Le traitement inégalitaire des créanciers. 63

PARAGRAPHE II : LA PORTEE DE LA LIBRE GESTION DU DEBITEUR. 64

A- Avant l'homologation du concordat. 64

B- Après l'homologation du concordat. 65

SECTION II : LES LIMITES SUSCEPTIBLES D'ENTRAVER LA BONNE EXECUTION DES MESURES PRISES. 66

PARAGRAPHE I : LES LIMITES LIEES AUX ORGANES DE GESTION. 66

PARAGRAPHE II : LES LIMITES LIEES A LA PUBLICITE DU REGLEMENT PREVENTIF. 67

CONCLUSION DU TITRE II......................................................................................................69

CONCLUSION GENERALE......................................................................................................70

ANNEXES....................................................................................................71

BIBLIOGRAPHIE..........................................................................................79

TABLE DES MATIERES..................................................................................83

précédent sommaire






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années"   Corneille